Doit-on encore évoquer dans nos colonnes le travail effectué par l’équipe de la médiathèque regroupée autour de son directeur Benoit Tallandier.. La maison est sans cesse en effervescence en témoignent les concerts organisés régulièrement au troisième étage du lieu de vie. Samedi après midi prenait des allures romantiques avec la participation de quatre musiciennes de talent Sandra Rakotondrazaka et Natalia Hurava au piano, Anna Rakotondrazaka et Nelly Matchabeli au violon. Et comme le veut ce vieil adage » La musique adoucit les meurs« . Ce qui n’est pas rien en cette période troublée et forcément le moment fut consommé sans modération par le public suffisamment important pour remplir la salle.
Bref, le romantisme n’est pas mort, confirmant la volonté des artistes d’explorer toutes les possibilités de l’art afin d’exprimer ses états d’âme …Un combat d’arrière garde diront les plus pragmatiques, mais tellement nécessaire à la vie pour une dualité constante entre sentiment et raison d’être.
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