Sale temps pour nos amis à quatre pattes du côté de la rue Vielle et du chemin du Pré des Clefs. Depuis le mois de mars 2016, 8 chats du quartier ont disparu sans explication alors que le secteur était pour eux plus que tranquille.
Les véhicules y circulent généralement à une allure plus que modérée en raison de l’étroitesse de la chaussée et il n’y a que peu de passage, même en journée. Propriétaire de « Bisou » et de certains autres chats qui n’ont plus donné de nouvelles, Édith Ledecky n’est pas la seule à s’inquiéter du sort de ces pauvres animaux. Certains habitants du quartier se posent également des questions et ont parfois même pris la décision « d’assigner à résidence » leur(s) chats de peur qu’il ne leur arrive malheur…
Le pauvre Mousse se serait donc vraisemblablement fait tirer dessus en pleine journée !
Plus étrange et plus grave sans doute, la mésaventure de « Mousse » et de son propriétaire Étienne en juillet 2015. Alors qu’il se promène dans la rue Vieille, ce dernier entend une détonation et voit son chien partir subitement en direction de son domicile. « J’ai entendu ce que je pensais être un pétard et mon chien a détalé jusqu’à la maison située quelques centaines de mètres plus loin. Je ne me suis pas inquiété, mais le soir j’ai vu du sang sur sa patte. Je suis donc allé rapidement chez le vétérinaire » , explique Etienne. Après une série de radios, il découvre à sa grande surprise que le pauvre mousse a une balle de petit calibre ou un gros plomb logé dans la cuisse droite ! Le pauvre animal repartira d’ailleurs avec mais soulagé, l’extraction étant trop périlleuse.
« Il faut quand même se dire que j’aurais très bien pu être le destinataire du projectile ! J’ai déposé une plainte en Gendarmerie avec, dans la foulée avec les pièces nécessaires, mais qui pour l’heure n’a encore rien donné », ajoute Étienne. Mais avec la disparition en série de plusieurs chats du quartier, les deux amis souhaitaient tirer la sonnette d’alarme en espérant que les chats du quartier puissent à nouveau mener une existence paisible, à l’image de Shiva, dernière pensionnaire d’Édith…
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