L’assemblée générale de l’association des Conjoints Survivants de Gérardmer-Xonrupt s’est déroulée ce vendredi à l’Hôtel de Ville.
De gauche à droite : Marie-Louise Demangeat, Juliette Costes, Chantal Lovato et Laurence Goujard
Une réunion marquée par la présence des élues Laurence Goujard et Véronique Vincent-Viry, ainsi que de la présidente des Conjoints Survivants des Vosges : Chantal Lovato. Présidente qui rappellera que l’association est toujours en discussion sur la demi-part supprimée en 2014. « On se bat pour qu’elle soit rétablie. Malheureusement la situation stagne. Il faudrait que nous soyons plus nombreux en terme d’adhérents pour pouvoir peser auprès des institutionnels, de l’État. Mais notre cause a du mal à intéresser les gens qui ont souvent peur, la question de la mort, du veuvage fait encore peur, pourtant nous pouvons tous y être confrontés » .
La section locale compte pour sa part 17 adhérents et la responsable Juliette Costes a dressé un rapide bilan de l’année écoulée. Année qui avait débuté avec les assises annuelles de la section le 27 novembre 2015, toujours en présence de Chantal Lovato. Le 22 janvier 2016, les membres s’étaient retrouvés pour partager un moment de convivialité à l’occasion de la traditionnelle galette des rois accompagnée d’une petite boisson. » Nous commençons par nous souhaiter une bonne année et surtout la santé » , précise Juliette Costes. Le 10 avril dernier, 4 membres de la section s’étaient ensuite rendus à l’assemblée générale départementale des Conjoints Survivants. Une réunion qui a eu lieu à Vagney et présidée par Chantal Lovato.
Puis au mois de juin, les responsables de section étaient invités par le Conseil d’Administration à Plombières pour prendre connaissance du planning des Assemblée Annuelles des sections. Juliette Costes et Marie-Louise Demangeat se sont rendus sur place en voiture. L’après-midi, l’ensemble des membres présents est allé visiter le Parc Miniature. Cette journée aura également permis à toutes les personnes présentes de mieux se connaître et d’échanger sur les difficultés rencontrées par chacun et chacune.
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