Le Festival Perku’son a laissé des traces. Pour preuve, Grégory Grosjean maitre de la percussion pour l’école de musique était une fois encore auprès du groupe de danse Hip Hop de la Maison de la Culture. Les jeunes danseurs étaient en effet en démonstration devant la « cure » sur la nouvelle place des droits de l’homme. On y a vu des figures imposées et de marque déposée. En tout cas suffisamment pour interpeller les promeneurs mais aussi les parents et proches des « HipHoper » (néologisme).
La culture urbaine n’est plus une enclave réservée à des précurseurs, c’est aujourd’hui un art de vivre pour une nouvelle génération d’artistes. Et pis c’est tout !
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