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vendredi 20 septembre

TG2V : le maintien des services publics reste une priorité

L'association rejoint un collectif pour mener son combat

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AG TG2V 2018

 

Suite à la potentielle fermeture de petites lignes dans le département voire d’une ligne de TGV, l’association TG2V a modifié quelque peu son fonctionnement en rejoignant un collectif afin d’avoir plus de poids dans la balance et dans ses actions. Le dossier de la réouverture de la ligne Gérardmer-Bruyères est plus qu’en stand by, un nouveau combat commence.

Les assises annuelles de TG2V ont eu lieu ce samedi 25 février à la Maison de la Montagne. L’association qui a donc fait évoluer son fonctionnement et ses objectifs en rejoignant un collectif composé d’autres structures engagées dans la préservation du train et/ou des services publics liés aux transports : « C’est maintenant le tronçon Épinal-Saint Dié qui est menacé, il faut réagir, c’est aussi pour ça que nous nous regroupons avec d’autres collectifs comme ADELE-S ou Bruche-Piémont-Rail par exemple. Des communes soutiennent aussi notre action comme Senones, Saales ou Cornimont, sans oublier la Communautés de Communes des Ballons. Nous allons également nous rapprocher de l’association Convergence Citoyenne et du mouvement « Que la Montagne est rebelle » en les invitant à nos actions » explique Robert Frayon, l’un des membres de la première heure de TG2V.

Clairement, le véritable combat de l’association est maintenant le maintien des services publics dans le secteur de la Perle des Vosges : « Nous essayons de mobiliser un maximum autour de cette démarche et que les choix ne soient pas fait sur la simple base de la rentabilité, mais en prenant en compte l’aspect social et économique. Et nous souhaitons qu’il y ait une cohérence vis-à-vis des Accords de Paris dans les décisions qui sont prises. On parle de développement durable alors qu’aujourd’hui tout passe par la route. Nous avons des vallées dépérissantes, avec une hausse du chômage, et si l’on veut être attractif, ce n’est pas en supprimant les services publics comme les trains et les écoles qu’on y arrivera » précise Robert Frayon. « Gérardmer accueille environ 1 million de touristes par an qui viennent en voiture. Quant à la gare, la vente de billets se chiffre à 22 000 € par mois, pas mal pour une gare sans train ?! » ajoute la présidente de TG2V Laurence Deny. Par ailleurs, comme l’a fait remarquer un des membres de l’association, le démontage prochain du pont de la Jamagne hypothèque la possibilité de remettre la gare de Gérardmer à sa place initiale… Pas de très bonne augure tout ça !

Retrouvez l’actu de TG2V ici : http://www.tg2v.org/

TG2V

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