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mercredi 27 novembre

Maladie de Lyme – to be or not to be ?

La question reste entière !

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P1110353On pouvait l’imaginer, la conférence organisée par le Rotary Club de Gérardmer a fait salle comble ce vendredi au Casino. Et pour cause, la maladie de lyme est devenue un problème de santé publique, notamment dans l’Est de la France particulièrement touché par l’invasion des tiques, vecteurs de la Borréliose. Pour en parler, les rotariens ont sorti de leur chapeau un « ponte » en la matière c’est-à-dire Le professeur Yves Hansmann, chef du service de pathologies infectieuses au CHU de Strasbourg et référent national. La soirée s’est scindée en deux parties distinctes : la première consacrée à l’exposé sur la maladie et la seconde faite d’un échange avec le public venu en nombre, la salle de cinéma du Casino étant presque pleine.

Dixit éponyme de Shakespeare, on ne fait pas d’Hamlet sans casser d’œufs ( voir notre titre). Autrement  dit, la maladie de Lyme reste un mystère partiel pour les autorités médicales : ne nous voilons pas la face. A l’instar de la bactérie, la redoutable Borrélia qui navigue ou pas dans notre corps est difficile à détecter c’est un peu comme envoyer une pièce en l’air pour retomber sur la tranche. En ce qui concerne LES symptômes, si tant est qu’ils soient générés par l’infection, il faut attendre qu’ils soient installés : une vraie lapalissade. Les tests ? Ils sont bons, mais pas toujours ! Les traitements, une fois la maladie de Lyme diagnostiquée, se suffisent à la prise d’antibiotiques…et puis c’est tout, et c’est déjà pas mal.

Mais le Le professeur Yves Hansmann se veut rassurant et, par expérience, il sait que la maladie se soigne bien,  qu’il est possible d’en venir à bout sans passer par la case sérologique allemande mais par le sérieux de certains laboratoires « französisch ». Quelques contradicteurs du médecin étaient forcément dans la salle pour évoquer des cas particuliers et remettre en cause une méthodologie institutionnelle et médicale…Alors !

Pour le reste, il  vaut mieux prévenir que guérir, c’est à dire éviter les endroits et les comportements à risque, soit les galipettes dans les prés et les sous bois, sortir couvert et utiliser les répulsifs.

 

 

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