Dans « Au théâtre ce soir », on pouvait entendre à la fin de la pièce… « Les décors sont de Roger Harth et les costume de Donald Cardwell« . Lorsque Claude Vanony monte sur scène, en l’occurrence celle du casino vendredi soir, les décors et la lumière sont quasiment réduits à leur plus simple expression et le costume de l’humoriste à un pantalon de velours côtelé, à une paire de sabot, un « chapeille » en vosgespatte dans le texte et enfin à sa légendaire peau de vache sur les épaules. Ce qu’on ne savait pas jusqu’à présent, (exclusivité de gerardmer info), le gilet du gérômois est confectionné à partir d’une « wette » bête, môôôn une « peutte » bête. Et tous ceux qui ont un doute sur l’expression, qu’ils aillent faire un stage linguistique sur les hauts de la ville quelque part du coté de la Rayée. C’est pas Dominique Walter son complice troubadour qui dira le contraire, depuis qu’il partage la scène avec la vedette. Ben si ! Vano c’est la star vosgienne pour le meilleur du rire en témoigne une salle du « Cazingue » pleine comme un œuf, avec un poulailler certes tout acquis à l’homme de Forgotte mais la performance est réelle.
Avis donc aux organisateurs de spectacles. Pour réussir un soirée, attention sans passer au four, il faut : une grosse salade de Vano en entrée, suivie d’un bon morceau de Vano poêlé (y en a un peu plus je vous le mets quand même) un Vano affiné en cave pendant de longues années et, pour conclure, un Saint-Vano à la crème de la crème. Sans oublier pour faire glisser façon moniteur de ski, une bouteille de Vano, coteau La Rayée 1935.
Pour en terminer définitivement avec tous ceux qui ont encore des doutes sur notre Claude Vanony « for ever », qu’ils prennent un billet d’avion sans retour pour les iles de leur choix faute de découvrir « Les BaléRares «
0 commentaire