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dimanche 24 novembre

Du Collet à la Source de la Meurthe

Un investissement fort pour l'économie touristique que l'on doit à Olivier Lapôtre

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Le Collet devenu au fil du temps le « Chalet- Hôtel, Le Collet » est une histoire d’homme… et de femme. Une histoire de famille perpétrée aujourd’hui par Olivier, un des 4 fils Lapôtre avec pour phare depuis 50 ans Maïe qui fut en son temps  gardien du temple au côté de Gaétan. La saga, c’en est une, continue avec l’élévation des Sources de la Meurthe pour faire aujourd’hui du lieu de villégiature un complexe touristique de haut vol.

A 58 ans, Olivier Lapôtre se lance dans une nouvelle aventure avec un investissement de 4 millions d’euros et une livraison des travaux prévus en décembre 2021 à la place du début d’été de la même année : le coronavirus  à bousculé le timing des travaux.

Mais qu’à cela ne tienne, l’édifice promet de devenir d’ici quelques mois un nouveau fleuron de l’hôtellerie restauration vosgienne. Le maître des lieux pousse les murs de son établissement pour accroître sa capacité d’accueil de 30 personnes avec la réalisation de 11 nouvelles chambres dont 2 suites. Et afin de satisfaire une clientèle de plus en plus exigeante,  Les Sources de la Meurthe  seront dotées d’une piscine et d’un jacuzzi en inox (une 1ère dans les Vosges), d’une salle de sport, une autre de silence et une salle de séminaire capable d’accueillir 20 personnes. Sans oublier le traditionnel sauna/aman, l’ensemble étant amélioré d’un ascenseur pour les personnes à mobilité réduite.

« C’était un rêve de développer l’affaire familiale tout en conservant l’âme de ce qui a été réalisé par mes parents précédemment » commente Olivier Lapôtre  qui n’imagine pas stopper son activité pour une retraite de sexagénaire. Et si la cuisine du Collet est déjà une référence, l’ hôtel va prendre une nouvelle  dimension en peaufinant le cocooning.

La bienveillance propre à Olivier Lapôtre revient en boucle. Le terme trop souvent galvaudé sied parfaitement au maître des lieux qu’il remet chaque jour en perspective avec son personnel mais aussi en imaginant demain autrement. Ainsi la totalité de l’ensemble touristique est déjà branché depuis peu sur une mini station de traitement des eaux pour un rejet aussi clair que les larmes du bonheur. Le futur s’écrit aujourd’hui en termes de développement durable et touristique.

Il faudra encore attendre avant de goûter aux plaisirs des yeux, du confort et de l’accueil, mais « il n’est rien d’impossible à qui sait aimer » écrivait Pierre Corneille.

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