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mardi 09 septembre

Prochaine ouverture du Théâtre de Verdure – Sortie de Résidence – Compagnie Petra Ichor (Belgique)

Le vendredi 19 septembre 2025 à 19h00

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Christophe Raynaud de Lage(1)

 

Des amours chiennes aux amour-lichen,

Projet écrit et porté par Oriane Lautel (Belgique)

Compagnie Petra Ichor

Étape de résidence sous forme de banquet performé

Au THÉÂTRE DE VERDURE, rue des angles 88120 VAGNEY – France

LE VENDREDI 19 SEPTEMBRE 2025

À 19 h 00

Conseillé à partir de 14 ans

Participation libre

Sur réservation

Tél : 06 59 48 89 44 / leplateauivreinfo@gmail.com

© Quentin Farriol

Au menu : fragments de création en cours, incarnés par 3 circassiennes, du son, de la lumière et des effets spéciaux ainsi qu’un banquet de funérailles réalisé par Nana Casanova, la cheffe de la compagnie Petra Ichor à partir des textes d’Oriane Lautel. Venez avec vos papilles, vos yeux et vos oreilles, ainsi que vos mots-doux pour les glisser à l’équipe, gourmande de vos retours sur vos ressentis.

Plus de détails :

Des amours chiennes aux amour-lichen,

Projet écrit et porté par Oriane Lautel (Belgique)

Création 2026 (avant-première en Belgique fin Avril, à confirmer)

« Ce soir, il y a un grand feu au loin. Et une cabane qu’on dirait être un barnum de kermesse mal monté.

Ce sont les funérailles de la Renault 18 de Nina Nevada, l’une des trois Deuilleuses. Ces pleureuses contemporaines (et badasses ! ) sont particulièrement voraces et impudiques. Alors, bienvenue – il y a à manger pour tout le monde. En fait, ce sont les arêtes d’un rocher ancestral dans lequel vous entrez.

Eco Deveaux, narratrice à la langue de caoutchouc, parle beaucoup et la bouche pleine. Salive. Barbara Cruel Smith et Nina Nevada changent de personnages comme de culotte. Elles jouent à être toutes les femmes dont elles rapportent les histoires.

Toutes trois – Eco la foutraque (Oriane Lautel), Barbara la femme aux mille yeux (Laila Umeko Smith) et Nina la dissidente (Gaia Ierace) – nous invitent à une traversée rituelle en plusieurs épisodes. Chaque histoire, on l’avale comme une perle et on se dit que la fiction est une possible réparation. La fiction salvatrice. La réparation d’un monde cassé qui a besoin de nouvelles mythologies. »

La Compagnie du Plateau Ivre

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