Jeudi 13 novembre à 20h00 à Gérardmer au café solidaire le Grattoir, une petite conférence-échange aura lieu sur ce sujet.
Claire Jeandidier, présidente de l’ AMAP (Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne) de Gérardmer nous expliquera le fonctionnement de celle-ci et ses valeurs.
Olivier Toussaint, dont les enfants ont repris sa ferme ( ferme du HaZard à Gerbépal) en agriculture biologique, sera là aussi, et il pourra nous expliquer pourquoi et comment il a pu exercer ce métier.
Ce sera donc l’occasion de rencontrer l’un des producteurs locaux et bio qui, chaque vendredi de 18h30 à 19h15 ( au « Mille Club » du Quartier Kleber ), remplissent notre panier d’excellents légumes de saison, mais aussi de pains, de miel, de viande ou de produits laitiers, le tout issu de l’agriculture biologique.
A l’heure où de plus en plus d’agriculteurs sont victimes de cancers qui commencent à être reconnus comme maladies professionnelles dues à l’utilisation des pesticides, n’est il pas de plus en plus important de se protéger de ces pesticides que nous retrouvons x fois par jour dans nos assiettes ou dans l’eau que nous buvons ?
Privilégier l’agriculture bio et les circuits courts est une solution :
– pour aider les agriculteurs qui réussissent à cultiver sans pesticides et sans engrais (dérivés du pétrole) et avec moins d’engins agricoles
– pour nous nourrir sainement .
Ainsi par notre pouvoir de consommateur, nous pouvons soutenir l’agriculture et l’élevage biologiques, diminuer ensemble notre bilan carbone, et par notre demande de produits locaux et bio, nous pouvons contribuer à encourager les agriculteurs conventionnels à passer en bio afin de protéger leur santé et vivre mieux de leur travail .
Manger moins de viande mais une viande de qualité permet de ne pas dépenser plus et de préserver sa santé : il suffit de voir (par exemple sur le site de l’association Welfarm Metz ) des images d’animaux élevés en batterie, pour comprendre de suite que la viande provenant de ces animaux n’est peut-être pas une véritable nourriture…
De plus en achetant ce type de viande ou de charcuterie, nous cautionnons une souffrance animale inimaginable et insupportable.
Les œufs et les produits laitiers bio, mais aussi l’association dans un plat d’une céréale et d’une légumineuse (par exemple le dhal indien qui associe riz et lentilles), nous apportent les protéines dont nous avons besoin, et coûtent moins cher que la viande.
Se nourrir autrement en préservant la santé de tous, et en luttant contre le réchauffement climatique et ses catastrophes, est une vraie solution.
Développer une agriculture saine et locale est aussi une sécurité pour un territoire, en contribuant au projet national dont l’objectif est l’autonomie alimentaire des territoires.
Le 13 novembre, échangeons et cherchons ensemble comment faire partie des solutions, face aux problèmes de notre société et aux défis qui nous attendent .
Et, sur notre territoire … un collectif pour mieux comprendre les enjeux de l’agriculture et de l’élevage :
Agriculture biologique et Hautes VosgesCe sera donc l’occasion de rencontrer l’un des producteurs locaux et bio qui, chaque vendredi de 18h30 à 19h15 ( au « Mille Club » du Quartier Kleber ), remplissent notre panier d’excellents légumes de saison, mais aussi de pains, de miel, de viande ou de produits laitiers, le tout issu de l’agriculture biologique.
A l’heure où de plus en plus d’agriculteurs sont victimes de cancers qui commencent à être reconnus comme maladies professionnelles dues à l’utilisation des pesticides, n’est il pas de plus en plus important de se protéger de ces pesticides que nous retrouvons x fois par jour dans nos assiettes ou dans l’eau que nous buvons ?Privilégier l’agriculture bio et les circuits courts est une solution :– pour aider les agriculteurs qui réussissent à cultiver sans pesticides et sans engrais (dérivés du pétrole) et avec moins d’engins agricoles– pour nous nourrir sainement .Ainsi par notre pouvoir de consommateur, nous pouvons soutenir l’agriculture et l’élevage biologiques, diminuer ensemble notre bilan carbone, et par notre demande de produits locaux et bio, nous pouvons contribuer à encourager les agriculteurs conventionnels à passer en bio afin de protéger leur santé et vivre mieux de leur travail .
0 commentaire