La Vigie de l’eau a organisé un « Apér’eau » au bar-restaurant l’Abondance à Mirecourt pour échanger sur la biométhanisation.
Ce rendez-vous faisait suite à une table ronde sur le même thème qui avait eu lieu à l’espace Flambeau le 6 octobre dernier.
Ce mardi soir, deux experts étaient présents : Marc Benoit, agronome à l’INRA et Damien L’huillier, chargé de mission énergie à la Chambre d’Agriculture des Vosges pour répondre à une question: « Recycler ses déchets en énergie, une solution d’avenir ? »
Les experts ont abordé l’histoire de la biométhanisation en France. En effet, cette technique se développe de plus en plus dans le pays et notamment en Lorraine, 250 unités à ce jour en France. Cette technique consiste à produire du biogaz comme source d’énergie, en transformant de la matière organique en méthane. Les restes de matière organique non transformée, les digestats, peuvent être ensuite épandus dans les parcelles agricoles.
Une quinzaine de personnes était présente et de nombreuses questions posées : Comment fonctionne une unité de biométhanisation ? Quel avenir, quel développement pour la biométhanisation en France ? Comment sont utilisés les digestats ? Quels sont les avantages et les inconvénients pour les agriculteurs ? Questions auxquelles les experts présents ont pu répondre de façon explicite.
Apéritif et petits fours ont été offerts par l’Abondance.
A.J.
La Vigie de l’eau a organisé un « Apér’eau » au bar-restaurant l’Abondance à Mirecourt pour échanger sur la biométhanisation.
Ce rendez-vous faisait suite à une table ronde sur le même thème qui avait eu lieu à l’espace Flambeau le 6 octobre dernier.
Ce mardi soir, deux experts étaient présents : Marc Benoit, agronome à l’INRA et Damien L’huillier, chargé de mission énergie à la Chambre d’Agriculture des Vosges pour répondre à une question: « Recycler ses déchets en énergie, une solution d’avenir ? »
Les experts ont abordé l’histoire de la biométhanisation en France. En effet, cette technique se développe de plus en plus dans le pays et notamment en Lorraine, 250 unités à ce jour en France. Cette technique consiste à produire du biogaz comme source d’énergie, en transformant de la matière organique en méthane. Les restes de matière organique non transformée, les digestats, peuvent être ensuite épandus dans les parcelles agricoles.
Une quinzaine de personnes était présente et de nombreuses questions posées : Comment fonctionne une unité de biométhanisation ? Quel avenir, quel développement pour la biométhanisation en France ? Comment sont utilisés les digestats ? Quels sont les avantages et les inconvénients pour les agriculteurs ? Questions auxquelles les experts présents ont pu répondre de façon explicite.
Apéritif et petits fours ont été offerts par l’Abondance.
A.J.
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