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lundi 15 juillet

La rentrée Vosgienne de Philippe Richert

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p-rich

« En 2016, le Conseil Régional du Grand Est consacre un milliard d’euros, soit 41% de son budget, au volet éducation et formation. L’ensemble des investissements réalisés par la Région offre ainsi quotidiennement aux élèves et aux encadrants des lycées, des conditions de vie et d’apprentissage performantes… » Le ton de la rentrée donné par Philippe Richert, le président du Conseil Régional. La Région qui faisait elle aussi sa rentrée ce 1er septembre avec une étape remarquée dans les locaux du lycée Baumont de Saint-Dié-des-Vosges. Autour du Président, on y retrouvait le vice-Président Gérard Cherpion, les conseillers régionaux Atissar Hibour, Elisabeth Poirson et David Valence, le Recteur de l’Académie Gilles Pécout, le sous-Préfet Laurent Monbrun, ou encore le proviseur de l’établissement Déodatien Olivier Odille. Ce dernier qui aura naturellement dressé le panorama du lycée et de ses formations, aussi ses excellents résultats obtenus au baccalauréat. Mais il fut davantage question du territoire régional. Outre ce budget d’un milliard d’euros, la Région Grand Est, c’est 216 000 lycéens, 50 000 places offertes pour la formation professionnelle continue, 37 000 apprentis, 15 400 étudiants du sanitaire et social et 195 000 étudiants.

Le Grand Est a 358 lycées dont 244 établissements publics, 114 privés sous contrat et 106 centres de formation professionnelle. « Notre objectif, c’est d’abord d’être à l’écoute de notre jeunesse. Elle représente le présent et le futur de notre région, son devenir. Nous consacrons cette grande partie de notre budget à l’amélioration du cadre de vie des lycéens », explique le Président. Pour le département des Vosges, 12 millions d’euros sont consacrés à la restructuration de l’externat du lycée Louis-Lapique à Épinal, 3,5 million d’euros pour l’internat et le plateau oltechnique du lycée Mendès-France à Contrexéville et 6,5 millions d’euros pour la réhabilitation de l’internat du lycée Jean-Baptiste Siméon-Chardin de Gérardmer. A cette amélioration du cadre de vie des lycéens et des apprentis , la Région apporte sa pierre à l’édifice dans l’accompagnement des dépenses scolaires des familles et au déploiement des technologies de l’information et de la communication dans les lycée ; on parle du « tout fibre » pour 2017.

Cette jeunesse, le Grand Est veut aussi lui donné de la voix ; promouvoir le devoir de mémoire, développer les mini-entreprises – Baumont s’affichant comme un fleuron dans le domaine – et contribuer au déroulement des Olympiades des Métiers avec Abou Dabi comme objectif en 2017. Le Grand Est, région la plus « européenne » sans doute, avec ses quatre frontière ; sa proximité avec la langue Allemande aussi. C’est ainsi que l’on évoque l’apprentissage de la langue dès la maternelle, notamment en Alsace et en Moselle. Les idées font leur chemin même si rien n’est véritablement défini. « Nous avons fait tellement en à peine huit mois », insiste Phillipe Richert. L’élu de souligner par la même occasion le pilotage régional et territorial des formations professionnelles ; territoires justement avec la mise en place d’une vingtaine de sites pour une douzaine d’agences territoriales qui suivront à l’avenir l’entretien des lycées au plus près. « La territorialisation des services de la Région s’impose à l’évidence comme une condition nécessaire à l’efficacité de l’action publique régionale d’aujourd’hui et demain. Par ailleurs, on ne peut pas ne pas avancer ensemble avec l’Education Nationale. Simplement, plutôt que de parler de réformes, parlons de faire évoluer les choses, parlons d’ajustement.

Il faut avoir une approche globale de la chaine de l’éducation. Rien n’est pire que la rupture. Nous agissons dans la continuité de ce que pratiquaient auparavant les trois régions. Redonnons aussi à l’apprentissage son image de voie de l’excellence. L’éducation n’est pas une voie de reproduction sociale mais une voie ouverte vers l’insertion professionnelle. La formation est possible tout au long de la vie active. » Un discours distillé de concert entre le Recteur et le Président de Région ; et la rentrée officielle de se terminer par une visite de l’établissement niché sur les hauteurs de Saint-Dié-des-Vosges.

Philippe Richert

Region Grand Est

rentrée

p-rich

« En 2016, le Conseil Régional du Grand Est consacre un milliard d’euros, soit 41% de son budget, au volet éducation et formation. L’ensemble des investissements réalisés par la Région offre ainsi quotidiennement aux élèves et aux encadrants des lycées, des conditions de vie et d’apprentissage performantes… » Le ton de la rentrée donné par Philippe Richert, le président du Conseil Régional. La Région qui faisait elle aussi sa rentrée ce 1er septembre avec une étape remarquée dans les locaux du lycée Baumont de Saint-Dié-des-Vosges. Autour du Président, on y retrouvait le vice-Président Gérard Cherpion, les conseillers régionaux Atissar Hibour, Elisabeth Poirson et David Valence, le Recteur de l’Académie Gilles Pécout, le sous-Préfet Laurent Monbrun, ou encore le proviseur de l’établissement Déodatien Olivier Odille. Ce dernier qui aura naturellement dressé le panorama du lycée et de ses formations, aussi ses excellents résultats obtenus au baccalauréat. Mais il fut davantage question du territoire régional. Outre ce budget d’un milliard d’euros, la Région Grand Est, c’est 216 000 lycéens, 50 000 places offertes pour la formation professionnelle continue, 37 000 apprentis, 15 400 étudiants du sanitaire et social et 195 000 étudiants.

Le Grand Est a 358 lycées dont 244 établissements publics, 114 privés sous contrat et 106 centres de formation professionnelle. « Notre objectif, c’est d’abord d’être à l’écoute de notre jeunesse. Elle représente le présent et le futur de notre région, son devenir. Nous consacrons cette grande partie de notre budget à l’amélioration du cadre de vie des lycéens », explique le Président. Pour le département des Vosges, 12 millions d’euros sont consacrés à la restructuration de l’externat du lycée Louis-Lapique à Épinal, 3,5 million d’euros pour l’internat et le plateau oltechnique du lycée Mendès-France à Contrexéville et 6,5 millions d’euros pour la réhabilitation de l’internat du lycée Jean-Baptiste Siméon-Chardin de Gérardmer. A cette amélioration du cadre de vie des lycéens et des apprentis , la Région apporte sa pierre à l’édifice dans l’accompagnement des dépenses scolaires des familles et au déploiement des technologies de l’information et de la communication dans les lycée ; on parle du « tout fibre » pour 2017.

Cette jeunesse, le Grand Est veut aussi lui donné de la voix ; promouvoir le devoir de mémoire, développer les mini-entreprises – Baumont s’affichant comme un fleuron dans le domaine – et contribuer au déroulement des Olympiades des Métiers avec Abou Dabi comme objectif en 2017. Le Grand Est, région la plus « européenne » sans doute, avec ses quatre frontière ; sa proximité avec la langue Allemande aussi. C’est ainsi que l’on évoque l’apprentissage de la langue dès la maternelle, notamment en Alsace et en Moselle. Les idées font leur chemin même si rien n’est véritablement défini. « Nous avons fait tellement en à peine huit mois », insiste Phillipe Richert. L’élu de souligner par la même occasion le pilotage régional et territorial des formations professionnelles ; territoires justement avec la mise en place d’une vingtaine de sites pour une douzaine d’agences territoriales qui suivront à l’avenir l’entretien des lycées au plus près. « La territorialisation des services de la Région s’impose à l’évidence comme une condition nécessaire à l’efficacité de l’action publique régionale d’aujourd’hui et demain. Par ailleurs, on ne peut pas ne pas avancer ensemble avec l’Education Nationale. Simplement, plutôt que de parler de réformes, parlons de faire évoluer les choses, parlons d’ajustement.

Il faut avoir une approche globale de la chaine de l’éducation. Rien n’est pire que la rupture. Nous agissons dans la continuité de ce que pratiquaient auparavant les trois régions. Redonnons aussi à l’apprentissage son image de voie de l’excellence. L’éducation n’est pas une voie de reproduction sociale mais une voie ouverte vers l’insertion professionnelle. La formation est possible tout au long de la vie active. » Un discours distillé de concert entre le Recteur et le Président de Région ; et la rentrée officielle de se terminer par une visite de l’établissement niché sur les hauteurs de Saint-Dié-des-Vosges.

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