Ce matin, comme à l’accoutumée, une cérémonie en mémoire aux soldats morts durant la première guerre mondiale s’est tenue à Contrexéville. Cette cérémonie a débuté au carré militaire avant de se poursuivre au monument aux morts.
On pouvait noter la présence des autorités civiles et militaires, des sapeurs-pompiers, du CEDEM ainsi que de collégiens. Ces derniers, accompagnés du chœur d’hommes ont entonné la Marseillaise à la fin de la cérémonie. La section AFN, la ville de Contrexéville et la Légion Vosgienne ont déposé chacune à leur tour, une gerbe au pied du monument.
Créé dans l’urgence des combats en 1916, l’Office national des mutilés et réformés qui deviendra l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre et dont nous célébrons le centenaire cette année, remplit toujours, un siècle plus tard, ses missions historiques de reconnaissance, de solidarité et de réparation au profit de toutes les générations combattantes.
Commémorer l’Armistice du 11 novembre 1918, c’est aussi rappeler aux français et françaises que la liberté dont ils jouissent est aussi due à l’engagement de ces femmes et de ces hommes qui, jusqu’au sacrifice de leur vie, sont prêts à défendre la Nation.
A.J.
Ce matin, comme à l’accoutumée, une cérémonie en mémoire aux soldats morts durant la première guerre mondiale s’est tenue à Contrexéville. Cette cérémonie a débuté au carré militaire avant de se poursuivre au monument aux morts.
On pouvait noter la présence des autorités civiles et militaires, des sapeurs-pompiers, du CEDEM ainsi que de collégiens. Ces derniers, accompagnés du chœur d’hommes ont entonné la Marseillaise à la fin de la cérémonie. La section AFN, la ville de Contrexéville et la Légion Vosgienne ont déposé chacune à leur tour, une gerbe au pied du monument.
Créé dans l’urgence des combats en 1916, l’Office national des mutilés et réformés qui deviendra l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre et dont nous célébrons le centenaire cette année, remplit toujours, un siècle plus tard, ses missions historiques de reconnaissance, de solidarité et de réparation au profit de toutes les générations combattantes.
Commémorer l’Armistice du 11 novembre 1918, c’est aussi rappeler aux français et françaises que la liberté dont ils jouissent est aussi due à l’engagement de ces femmes et de ces hommes qui, jusqu’au sacrifice de leur vie, sont prêts à défendre la Nation.
A.J.
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