Dénonçant l’opacité des analyses officielles, les éleveurs ont décidé de procéder, à leurs frais, à des prélèvements d’ADN sur les scènes de prédation. Ces analyses ont été réalisées par des éleveurs et des élus depuis ce printemps 2017 sur les animaux prédatés par le loup et sur d’autres éléments. Ils viennent d’en publier les premiers résultats.
Ceux-ci démontrent que les loups sont plus nombreux qu’annoncés officiellement et la proportion de croisés chiens/loups n’a plus grand chose à voir avec les objectifs de préservation de l’espèce. C’est ainsi que dans la Plaine, entre Meurthe-et-Moselle et Vosges, la présence de deux loups hybrides est avérée. Un loup hybride est issu d’un croisement artificiel ou naturel entre un chien et un loup.
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