Photographe, Charlotte Szymoniak a rejoint le mouvement « Artisanapoil ».
Photographe professionnelle indépendante, Charlotte Szymoniak a pris la décision de rejoindre le mouvement «Artisanapoil», une mobilisation nationale des artisans et petits commerçants contre les mesures gouvernementales de fermer à nouveau les commerces et activités, dites non essentielles.
Sur sa page Facebook, elle pose nue juste avec une pancarte où on peut lire «Quitte à être mise à poil par le gouvernement, je préfère le faire moi-même !»
Jugée activité non essentielle pour nos dirigeants, mais vitale pour la jeune chef d’entreprise, qui a fait le choix, il y a quelques mois, de faire de sa passion son métier en créant sa propre entreprise. «Cette année est une année catastrophique, et le second confinement va s’annoncer critique du côté des finances. J’avais de nombreuses demandes pour les fêtes, des naissances de prévues, et j’ai des projets que je ne pourrais pas mener à terme pour la fin de l’année, faute de trésorerie. On nous interdit de travailler malgré le respect des normes sanitaires que nous savons appliquer. Oui nous pouvons être face à la personne, mais nous ne sommes agglutiner les uns aux autres, comme en attente de passer à une caisse de supermarché», précise Charlotte Szymoniak
La jeune femme invite toutes les personnes qui le souhaiteraient, à rejoindre le mouvement par solidarité, mais également pour se faire connaître, avant de terminer ces mots par : «J’ai juste envie de crier, laisser nous bosser, laisser nous vivre, on est tous dans la même barque, en regardant passer le paquebot nous faire de l’ombre.»
En attendant les futures décisions gouvernementales, vous pouvez visiter et admirer le travail de Charlotte Szymoniak sur sa page Facebook : https://www.facebook.com/instantsdevie88/
D.S.
Photographe, Charlotte Szymoniak a rejoint le mouvement « Artisanapoil ».
Photographe professionnelle indépendante, Charlotte Szymoniak a pris la décision de rejoindre le mouvement «Artisanapoil», une mobilisation nationale des artisans et petits commerçants contre les mesures gouvernementales de fermer à nouveau les commerces et activités, dites non essentielles.
Sur sa page Facebook, elle pose nue juste avec une pancarte où on peut lire «Quitte à être mise à poil par le gouvernement, je préfère le faire moi-même !»
Jugée activité non essentielle pour nos dirigeants, mais vitale pour la jeune chef d’entreprise, qui a fait le choix, il y a quelques mois, de faire de sa passion son métier en créant sa propre entreprise. «Cette année est une année catastrophique, et le second confinement va s’annoncer critique du côté des finances. J’avais de nombreuses demandes pour les fêtes, des naissances de prévues, et j’ai des projets que je ne pourrais pas mener à terme pour la fin de l’année, faute de trésorerie. On nous interdit de travailler malgré le respect des normes sanitaires que nous savons appliquer. Oui nous pouvons être face à la personne, mais nous ne sommes agglutiner les uns aux autres, comme en attente de passer à une caisse de supermarché», précise Charlotte Szymoniak
La jeune femme invite toutes les personnes qui le souhaiteraient, à rejoindre le mouvement par solidarité, mais également pour se faire connaître, avant de terminer ces mots par : «J’ai juste envie de crier, laisser nous bosser, laisser nous vivre, on est tous dans la même barque, en regardant passer le paquebot nous faire de l’ombre.»
En attendant les futures décisions gouvernementales, vous pouvez visiter et admirer le travail de Charlotte Szymoniak sur sa page Facebook : https://www.facebook.com/instantsdevie88/
D.S.
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