Yves Seguy, le nouveau Préfet des Vosges, et Cécile Aubrège-Guyot, déléguée départementale de l’ARS Grand Est sont venus ce vendredi visiter de l’EHPAD de Plombières-lès-Bains, « Le Clos des Deux Écureuils », situé au 136, rue Gérard Grivet à Plombières-les-Bains.
Accueillis par Valérie Petit, directrice de l’établissement, ils étaient notamment accompagnés par Lydie Barbaux, maire de la commune, François Vannson, président du Conseil Départemental, et le député Christophe Naegelen. L’occasion de faire un point sur la situation sanitaire et les mesures mises en place dans les EHPAD. Le préfet Yves Seguy insiste sur la nécessité de poursuivre les efforts entrepris. «Il faut plus que jamais respecter les gestes barrière.» Notamment en respectant les distances nécessaires, le lavage des mains. Il évoque la «capacité à accueillir», pour des visites et d’autres activités, qui doit être garantie. «Tout en maintenant un haut niveau de protection.» Alors que les moyens technologiques modernes et la nature même de la crise sanitaire imposent un pilotage «à distance», un passage sur le terrain permet de prendre le pouls du secteur de la santé, et en l’occurrence des soins aux personnes âgées.
Yves Seguy, le nouveau Préfet des Vosges, et Cécile Aubrège-Guyot, déléguée départementale de l’ARS Grand Est sont venus ce vendredi visiter de l’EHPAD de Plombières-lès-Bains, « Le Clos des Deux Écureuils », situé au 136, rue Gérard Grivet à Plombières-les-Bains.
Accueillis par Valérie Petit, directrice de l’établissement, ils étaient notamment accompagnés par Lydie Barbaux, maire de la commune, François Vannson, président du Conseil Départemental, et le député Christophe Naegelen. L’occasion de faire un point sur la situation sanitaire et les mesures mises en place dans les EHPAD. Le préfet Yves Seguy insiste sur la nécessité de poursuivre les efforts entrepris. «Il faut plus que jamais respecter les gestes barrière.» Notamment en respectant les distances nécessaires, le lavage des mains. Il évoque la «capacité à accueillir», pour des visites et d’autres activités, qui doit être garantie. «Tout en maintenant un haut niveau de protection.» Alors que les moyens technologiques modernes et la nature même de la crise sanitaire imposent un pilotage «à distance», un passage sur le terrain permet de prendre le pouls du secteur de la santé, et en l’occurrence des soins aux personnes âgées.
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