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dimanche 30 juin

31ème Festival International du Film fantastique : revenir aux fondements

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Tel les cavaliers de l’apocalypse, le festival du Film Fantastique de Gérardmer arrive au galop avec ses films, ses hommages, ses rencontres, ses expositions, ses jurys, ses stars, sas animations et… ses bénévoles !

Après avoir célébré son 30ème anniversaire l’an dernier, le festival de Gérardmer a pu constater que le public de Gérardmer était définitivement devenu un public de cinéphile. Comme le faisait remarquer Bruno Barde, le prix du public était identique à celui du Jury, portant aux nues un film exigent et pointu que le directeur du festival lui-même n’aurait, de ses propres aveux, pas oser programmer il y a 15 ans. Et puisqu’il faut parler de programmation, ce sont pas moins de 253 films qui ont été visionnés pour établir la sélection qui vous sera proposée prochainement dans les sales obscures. « Le genre fantastique produits des chefs d’œuvre, mais aussi de très mauvais films, il nous oblige à une exigence artistique. (…) Ce fut un visionnage glauque et ténébreux… car nous sommes des vampires… » précise Bruno Barde.

Tel les cavaliers de l’apocalypse, le festival du Film Fantastique de Gérardmer arrive au galop avec ses films, ses hommages, ses rencontres, ses expositions, ses jurys, ses stars, sas animations et… ses bénévoles !

Après avoir célébré son 30ème anniversaire l’an dernier, le festival de Gérardmer a pu constater que le public de Gérardmer était définitivement devenu un public de cinéphile. Comme le faisait remarquer Bruno Barde, le prix du public était identique à celui du Jury, portant aux nues un film exigent et pointu que le directeur du festival lui-même n’aurait, de ses propres aveux, pas oser programmer il y a 15 ans. Et puisqu’il faut parler de programmation, ce sont pas moins de 253 films qui ont été visionnés pour établir la sélection qui vous sera proposée prochainement dans les sales obscures. « Le genre fantastique produits des chefs d’œuvre, mais aussi de très mauvais films, il nous oblige à une exigence artistique. (…) Ce fut un visionnage glauque et ténébreux… car nous sommes des vampires… » précise Bruno Barde.

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