Communiqué de l’association « Nous voulons des coquelicots »
Et maintenant la grande bataille des SDHI !
Ils sont épandus sur la presque totalité de la surface agricole. Le blé, l’orge, les tomates, les pommes de terre, les arbres fruitiers, les semences, les stades de foot, les terrains de sports sur lesquels s’égayent nos enfants… les SDHI, c’est leur nom, sont des fongicides dont presque personne ne connaît l’existence, mais qu’on retrouve dans les urines des deux tiers des femmes enceintes testées.
Or des scientifiques de réputation mondiale affirment que les SDHI sont une menace pour la santé de tous les êtres vivants. Celle des champignons, celle des vers de terre, celle des baleines, celle des abeilles. Et celle des hommes. Car ils s’attaquent à la fonction respiratoire des cellules, la SDH. Chez les humains, les atteintes à la SDH conduisent à des maladies neurologiques graves et au cancer. Et personne ne nous protège. Car dûment prévenue, l’agence chargée de notre protection, l’Anses, a fait la morte, avant d’innocenter les SDHI par des manœuvres scandaleuses*.
Amis des coquelicots, depuis une année nous exigeons protection. Des maires héroïques s’y essaient avec leurs arrêtés ; continuons à les soutenir et à les encourager ! Il est plus que temps de démanteler le système criminel des pesticides, à commencer par l’Anses, cette agence sanitaire complice dont nous devons tous réclamer la dissolution, en tous points du territoire. La deuxième année des Coquelicots doit montrer sa force sur le terrain. Les rassemblements dans chaque ville, village doivent être maintenus et amplifiés. Ouvrez grand vos oreilles, et préparez-vous à l’action. C’est le moment. Il ne faut pas avoir peur de la révolte.
Rendez-vous le vendredi 6 septembre à 18h30 à Saint Nabord place de la gare. Plus nous serons à semer plus nous récolterons ! Auberge espagnole en fin de rassemblement.
L’association « Nous voulons des coquelicots »
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