Jean Rottner, Président de la Région Grand Est, et Tony Estanguet, Président du Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, ont signé ce vendredi 13 décembre à Metz, la convention de labellisation « Grand Est – Terre de Jeux 2024 ».
Dès l’officialisation de la désignation de Paris comme ville hôte des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, la Région s’est engagée dans l’aventure en initiant une véritable dynamique territoriale. En obtenant aujourd’hui ce label « Terre de Jeux 2024 », elle souhaite valoriser toutes les actions mises en œuvre au quotidien pour promouvoir la pratique sportive et les valeurs du Sport sous toutes ses composantes (par exemple : événementiel autour de la pratique des activités de pleine nature, interventions de la Team Grand Est, retransmissions sportives, partenariats associatifs et éducatif, portes ouvertes des CREPS, opérations de prévention santé, etc.).
Par ailleurs, la Région a engagé une démarche unique et partagée avec la création d’un site internet dédié aux ambitions olympiques du territoire : https://faitesvosjeux.grandest.fr. Celui-ci intègre notamment les actualités sportives et animations autour de « Terre de Jeux 2024 », ainsi que des « cartowebs » présentant les différents sites potentiels d’accueil de délégations étrangères et de préparation des sportifs français. Ce site a été dévoilé hier, jeudi 12 décembre, à l’occasion de la soirée de lancement du label « Grand Est – Terre de Jeux 2024 », qui s’est déroulée au club de tennis de table de Maizières-lès-Metz, en présence notamment de Jean Rottner, Tony Estanguet, Jean-Paul Omeyer, Vice-Président de la Région délégué au Sport, sous l’animation de la handballeuse Nina Kanto.
La Région Grand Est est également candidate au label « Centre de préparation aux Jeux » pour que ses 3 CREPS de Reims, Nancy et Strasbourg puissent accueillir les délégations étrangères dès la fin de l’Olympiade de Tokyo 2020. Un vaste plan de rénovation a d’ailleurs été entrepris par la Région afin de moderniser ces 3 sites (39 millions d’euros d’investissements d’ici à Paris 2024).
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