Pour Vincent Potaufeux son directeur, il y a en a eu « deux à Épinal et un dernier à Dinozé. Depuis l’apparition d’un premier nid à Bleurville en 2018 nous restons vigilants » .
Faisant partie des derniers départements non colonisés par l’insecte, les Vosges sont d’autant plus sensibilisées à la détection de nids, sachant que cela est synonyme de destruction de ruchers et de risque pour les personnes, un premier décès ayant été déploré en 2012. La variété asiatique comme l’européenne étant particulièrement agressives lorsque l’on passe à moins de 5 mètres de leurs nids.
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