Lors de sa réunion régionale qui se tient à Epinal le 26 mars, la La Ligue des Droits de l’Homme exprime sa vive inquiétude et son refus de voir que des personnes exilées et souvent très malades soient mises à la rue le 31 mars sur décision des services de la DDETSPP sous les ordres de la préfecture.
Ces personnes en détresse sont présentes à Epinal depuis plusieurs années, elles n’ont pas quitté leurs pays de gaieté de cœur elles sont aujourd’hui sans solution. Au moment où la légitime solidarité envers les Ukrainiens durement frappés par la guerre s’exerce pleinement, peut-on accepter que le deux poids deux mesures et l’arbitraire deviennent un choix du gouvernement et par conséquent du préfet des Vosges ?
La LDH demande à monsieur le préfet des Vosges de revenir sur cette décision injuste et d’étudier toutes les solutions qui redonneraient de l’espoir à ces personnes en détresse. Y compris une régularisation qui serait une décision humanitaire.
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