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vendredi 05 juillet

« Plan National Loup » 2024/2029 : Deux camps diamétralement opposés !

Le gouvernement bien esseulé à la présentation de son nouveau plan très controversé

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Le nouveau « Plan National loup » présenté en Région Rhône-Alpes et précurseur des décisions et textes de lois mis en œuvre dès le mois de janvier prochain, pose débats etLoup 1 divise les parties en présences. C’est en effet ce lundi que l’ensemble des représentants de la filière agricole, bergers, chasseurs, élus, associations diverses et administration, étaient appelés à consulter ce nouveau plan.

Pour les uns jugé « inacceptable « et pour les autres « pas assez ambitieux », les discutions risquent d’être compliquées jusqu’à l’échéance, une partie importante des associations parties prenantes comme WWF, la LPO, la FNE et l’ASPAS réunies en collectif, ont tout simplement quitter l’assemblée consultative initiée par la Préfecture  de Région pour le gouvernement.

Cette première approche sensée assurer au mieux la protection des troupeaux, tout en gardant cette philosophie de protection de l’animal, était jugé trop technique et difficile a mettre en œuvre parfois, notamment en donnant droit aux éleveurs à l’utilisation de la visée nocturne jusqu’alors interdite, au profit de l’éclairage traditionnel. La méthode de comptage également était à l’ordre du jour et revue de manière a rendre des chiffres moins approximatifs, mais difficile à tenir et suivre. Les résultats des comptages ont effectivement basés sur une approximation résultant d’indices relevés méthodiquement par les agents de l’Office Nationale des Forêts. La production de ces comptages devraient passer de deux à un par année et un nouveau statut serait également à l’étude, quant aux chiens de troupeaux œuvrant aux côtés des bergers en montagne.

On estime à quelques 12 milliers, le nombre d’attaques contre les troupeaux en France pour l’année dernière, la présence du Loup étant de plus soutenue depuis son retour sur le territoire, notamment en provenance d’Italie par les Alpes. Une dernière estimation en portait le nombre d’individus à plus de 1100, le prélèvement autorisé par voie de chasse étant de 19% annuel et devant être revu à la hausse.

Annoncé en juin dernier par le gouvernement, ce plan visait pourtant a assurer la viabilité de l’espèce avec l’ambition de mieux protéger les troupeaux et les éleveurs. Ce plan avait été élaboré suite à une concertation menée auprès des représentants d’éleveurs, les élus et le milieu associatif concerné, en intégrant  de nouvelles dispositions considérées comme des avancées en matière de protection des victimes d’attaques, et le Loup lui-même, à savoir :

-Une meilleure intégration des données et connaissances scientifiques pour mieux appréhender la population de loups en France et gérer les effets de sa présence.

-La mise en place d’un dispositif pluriannuel de gestion de l’espèce pour avoir une vision à long terme.

-La responsabilisation du préfet coordonnateur et des préfets de département pour une réponse territoriale adaptée aux situations vécues par les éleveurs.

-La révision de la vision générale du plan loup avec l’intégration d’élus des territoires concernés

Pour les acteurs de la filière et après avoir eu connaissance de cette première mouture de ce plan 2024/2029, les avancées ou nouveautés étaient plutôt qualifiées de solutions édulcorées et loin des attentes des éleveurs notamment.

 

 

 

 

 

faune sauvage

Vosges

Le nouveau « Plan National loup » présenté en Région Rhône-Alpes et précurseur des décisions et textes de lois mis en œuvre dès le mois de janvier prochain, pose débats etLoup 1 divise les parties en présences. C’est en effet ce lundi que l’ensemble des représentants de la filière agricole, bergers, chasseurs, élus, associations diverses et administration, étaient appelés à consulter ce nouveau plan.

Pour les uns jugé « inacceptable « et pour les autres « pas assez ambitieux », les discutions risquent d’être compliquées jusqu’à l’échéance, une partie importante des associations parties prenantes comme WWF, la LPO, la FNE et l’ASPAS réunies en collectif, ont tout simplement quitter l’assemblée consultative initiée par la Préfecture  de Région pour le gouvernement.

Cette première approche sensée assurer au mieux la protection des troupeaux, tout en gardant cette philosophie de protection de l’animal, était jugé trop technique et difficile a mettre en œuvre parfois, notamment en donnant droit aux éleveurs à l’utilisation de la visée nocturne jusqu’alors interdite, au profit de l’éclairage traditionnel. La méthode de comptage également était à l’ordre du jour et revue de manière a rendre des chiffres moins approximatifs, mais difficile à tenir et suivre. Les résultats des comptages ont effectivement basés sur une approximation résultant d’indices relevés méthodiquement par les agents de l’Office Nationale des Forêts. La production de ces comptages devraient passer de deux à un par année et un nouveau statut serait également à l’étude, quant aux chiens de troupeaux œuvrant aux côtés des bergers en montagne.

On estime à quelques 12 milliers, le nombre d’attaques contre les troupeaux en France pour l’année dernière, la présence du Loup étant de plus soutenue depuis son retour sur le territoire, notamment en provenance d’Italie par les Alpes. Une dernière estimation en portait le nombre d’individus à plus de 1100, le prélèvement autorisé par voie de chasse étant de 19% annuel et devant être revu à la hausse.

Annoncé en juin dernier par le gouvernement, ce plan visait pourtant a assurer la viabilité de l’espèce avec l’ambition de mieux protéger les troupeaux et les éleveurs. Ce plan avait été élaboré suite à une concertation menée auprès des représentants d’éleveurs, les élus et le milieu associatif concerné, en intégrant  de nouvelles dispositions considérées comme des avancées en matière de protection des victimes d’attaques, et le Loup lui-même, à savoir :

-Une meilleure intégration des données et connaissances scientifiques pour mieux appréhender la population de loups en France et gérer les effets de sa présence.

-La mise en place d’un dispositif pluriannuel de gestion de l’espèce pour avoir une vision à long terme.

-La responsabilisation du préfet coordonnateur et des préfets de département pour une réponse territoriale adaptée aux situations vécues par les éleveurs.

-La révision de la vision générale du plan loup avec l’intégration d’élus des territoires concernés

Pour les acteurs de la filière et après avoir eu connaissance de cette première mouture de ce plan 2024/2029, les avancées ou nouveautés étaient plutôt qualifiées de solutions édulcorées et loin des attentes des éleveurs notamment.

 

 

 

 

 

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