Que se passe-t-il dans les coulisses de la fabrication du textile dans les Vosges, la longue chaîne du processus de fabrication et le fait que dans les Vosges, il existe encore
toute la longue chaîne du processus de fabrication et le fait que dans les Vosges, il existe encore toute la chaîne de valeur (filature, tissage, ennoblissement et confection) pour produire des produits 100% vosgien réduisant drastiquement l’impact carbone.
En 2011, sous l’impulsion des industriels textiles vosgiens, la filière a décidé de se fédérer autour d’un label commun : Vosges terre textile. La mission du label est de garantir aux consommateurs qu’au moins 75% des étapes de fabrication d’un produit textile soient réalisées par les acteurs de la filière pour proposer des produits authentiquement faits en région. Fort de ce succès, le label s’est depuis développé dans 6 grandes régions de France (représentant les bassins textiles français). Tous sont maintenant regroupés autour d’un label commun France terre textile porté par la fédération France terre textile. Le label compte plus 150 adhérents, défendant les mêmes valeurs.
Le label impose aux producteurs textiles qu‘au moins 75% des opérations de production (du fil à l’article confectionné) soient réalisées au sein d’entreprises agréées en France. Le label France terre textile rassemble la filière autour d’une volonté commune : préserver les savoir-faire et les emplois français. Il rassemble les entreprises qui partagent la même vision du « Made in France » et considèrent que toutes les opérations de production sont
aussi importantes les unes que les autres. 95,7 % des vêtements et linge de maison consommés en France sont importés. 1 kg de ce textile d’importation génère en moyenne 54 kg d’équivalent CO2. En comparaison, 1 kg de textile produit et consommé en France génère 27,7 kg d’équivalent CO2, soit la moitié !
La première étape de la filière passe par la Filature. Pour avoir su combiner l’expérience et la modernité, le Tissage de la Mouline au Thillot est aujourd’hui un des leaders européens dans l’industrie textile. Depuis 1926, TMT excelle dans ses métiers de filature, tissage et confection et l’entreprise est d’ailleurs la dernière filature de coton de France. En 1996, se sont 9 filatures qui étaient en service dans les Vosges.
TMT représente une production de 300 tonnes de fil par mois avec un effectif de 30 personnes. 9 machines fonctionnent 24 heures sur 24. Les deux sites emploient 90 personnes pour un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros, le principale client de la filature de la Mouline étant le tissage de la Mouline bien entendu. C’est sous le contrôle du Directeur Général, Michaël ALLENBACH et Nicolas CREUSOT, responsable de site, que la visite détaillée des 2 sites de productions à été effectué.
Derrière les murs de la Filature, les machines opèrent un balai avec une précision chirurgicale. C’est tout d’abord une Éplucheuse
linéaire qui prélève la matière première par aspiration à destination d’un mélangeur. La matière est mélangée et nettoyée (coton/polyester) avant de passer à l’alignement puis l’étirage. L’entreprise utilise du coton en provenance d’Espagne, de Grèce, de Turquie, d’Afrique et de France notamment. Les machines reçoivent également du coton bio et du polyester.
Une machine indispensable à la haute qualité des produits qui sortent de la production, est un procédé JOSSI capable de détecter toute matière indésirable fichée au cœur du coton. Ce procédé est d’ailleurs plébiscité par une clientèle très exigeante et ce procédé est un gage de qualité indispensable aux clients de TMT. Il faut savoir également que les résidus de coton et de matière diverse exclu des machines par nettoyage et brossage, sont récoltés et vendus sur un marché parallèle destiné à la confection de textile moins noble. (torchon, serpillère…). C’est ce que le responsable de site, Nicolas CREUSOT appelle la production vertueuse zéro déchet.
Que se passe-t-il dans les coulisses de la fabrication du textile dans les Vosges, la longue chaîne du processus de fabrication et le fait que dans les Vosges, il existe encore toute la longue chaîne du processus de fabrication et le fait que dans les Vosges, il existe encore toute la chaîne de valeur (filature, tissage, ennoblissement et confection) pour produire des produits 100% vosgien réduisant drastiquement l’impact carbone.
En 2011, sous l’impulsion des industriels textiles vosgiens, la filière a décidé de se fédérer autour d’un label commun : Vosges terre textile. La mission du label est de garantir aux consommateurs qu’au moins 75% des étapes de fabrication d’un produit textile soient réalisées par les acteurs de la filière pour proposer des produits authentiquement faits en région. Fort de ce succès, le label s’est depuis développé dans 6 grandes régions de France (représentant les bassins textiles français). Tous sont maintenant regroupés autour d’un label commun France terre textile porté par la fédération France terre textile. Le label compte plus 150 adhérents, défendant les mêmes valeurs.
Le label impose aux producteurs textiles qu‘au moins 75% des opérations de production (du fil à l’article confectionné) soient réalisées au sein d’entreprises agréées en France. Le label France terre textile rassemble la filière autour d’une volonté commune : préserver les savoir-faire et les emplois français. Il rassemble les entreprises qui partagent la même vision du « Made in France » et considèrent que toutes les opérations de production sont aussi importantes les unes que les autres. 95,7 % des vêtements et linge de maison consommés en France sont importés. 1 kg de ce textile d’importation génère en moyenne 54 kg d’équivalent CO2. En comparaison, 1 kg de textile produit et consommé en France génère 27,7 kg d’équivalent CO2, soit la moitié !
La première étape de la filière passe par la Filature. Pour avoir su combiner l’expérience et la modernité, le Tissage de la Mouline au Thillot est aujourd’hui un des leaders européens dans l’industrie textile. Depuis 1926, TMT excelle dans ses métiers de filature, tissage et confection et l’entreprise est d’ailleurs la dernière filature de coton de France. En 1996, se sont 9 filatures qui étaient en service dans les Vosges.
TMT représente une production de 300 tonnes de fil par mois avec un effectif de 30 personnes. 9 machines fonctionnent 24 heures sur 24. Les deux sites emploient 90 personnes pour un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros, le principale client de la filature de la Mouline étant le tissage de la Mouline bien entendu. C’est sous le contrôle du Directeur Général, Michaël ALLENBACH et Nicolas CREUSOT, responsable de site, que la visite détaillée des 2 sites de productions à été effectué.
Derrière les murs de la Filature, les machines opèrent un balai avec une précision chirurgicale. C’est tout d’abord une Éplucheuse linéaire qui prélève la matière première par aspiration à destination d’un mélangeur. La matière est mélangée et nettoyée (coton/polyester) avant de passer à l’alignement puis l’étirage. L’entreprise utilise du coton en provenance d’Espagne, de Grèce, de Turquie, d’Afrique et de France notamment. Les machines reçoivent également du coton bio et du polyester.
Une machine indispensable à la haute qualité des produits qui sortent de la production, est un procédé JOSSI capable de détecter toute matière indésirable fichée au cœur du coton. Ce procédé est d’ailleurs plébiscité par une clientèle très exigeante et ce procédé est un gage de qualité indispensable aux clients de TMT. Il faut savoir également que les résidus de coton et de matière diverse exclu des machines par nettoyage et brossage, sont récoltés et vendus sur un marché parallèle destiné à la confection de textile moins noble. (torchon, serpillère…). C’est ce que le responsable de site, Nicolas CREUSOT appelle la production vertueuse zéro déchet.
toute la longue chaîne du processus de fabrication et le fait que dans les Vosges, il existe encore toute la chaîne de valeur (filature, tissage, ennoblissement et confection) pour produire des produits 100% vosgien réduisant drastiquement l’impact carbone.
aussi importantes les unes que les autres. 95,7 % des vêtements et linge de maison consommés en France sont importés. 1 kg de ce textile d’importation génère en moyenne 54 kg d’équivalent CO2. En comparaison, 1 kg de textile produit et consommé en France génère 27,7 kg d’équivalent CO2, soit la moitié !
linéaire qui prélève la matière première par aspiration à destination d’un mélangeur. La matière est mélangée et nettoyée (coton/polyester) avant de passer à l’alignement puis l’étirage. L’entreprise utilise du coton en provenance d’Espagne, de Grèce, de Turquie, d’Afrique et de France notamment. Les machines reçoivent également du coton bio et du polyester.
0 commentaire