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jeudi 04 juillet

Remiremont : Cinéma Le Majectic « Aux Masques Citoyens »

Proposé et organisé par La Ligue des Droits de l’Homme, section de Remiremont

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Ciné/débat : Aux masques Citoyens, le 10 novembre au Majestic.

Organisée par La Ligue des Droits de l’Homme, section de Remiremont, le vendredi 10, novembre à 20h au cinéma Le Majestic de Remiremont, le film « Aux MasquesAux Masques Citoyennes - Ciné-Débat (2) Citoyens » est l’occasion unique d’assister en temps réel à ce que le travail en usine fut au début du XXème siècle… C’est un objet anthropologique, dans la mesure où ces Femmes et ces Hommes, qui ont vécu cette aventure de l’intérieur, ont été confrontés à une urgence, une accélération inouïe, qui les ont forcés à travailler dans des conditions qui ont disparu depuis plusieurs décennies dans nos sociétés.

La première intention du réalisateur était de filmer le présent, le présent chaotique d’une ruche où des couturières confectionnaient des masques dans l’espoir de sauver des vies. En participant, à sa façon, à « l’effort de guerre », Florent Lacaze a compris qu’il faisait un film sur le travail et sur la condition de ces femmes qui, pour des raisons différentes, ont décidé de s’investir dans cette folie au risque de ne pas en sortir indemnes. Elles ont, le temps d’un confinement, vécu ce que leurs arrière-grands-mères ont connu avant les congés payés et les RTT, avant les couleurs, dans une époque en noir et blanc.

Ce voyage dans le temps nous permet de repenser les conditions du travail, de mettre en perceptive, de comprendre notre époque et surtout le rapport qu’aujourd’hui nous entretenons avec le travail.

À l’heure où les français manifestent contre une réforme du régime des retraites, à l’heure où nous sommes nombreux à réfléchir au sens du travail dans notre vie, dans unLigue pays où les acquis sont revisités, ce film est l’occasion de mesurer le chemin parcouru depuis l’âge des premières usines.

« Une belle occasion d’échanger simplement autour d’un sujet qui nous concerne tous, et de permettre à chacun de s’exprimer sur ce que le travail en commun peut apporter comme réconfort. » soulignent les membres de la LDH.

 

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remiremont

Vosges

Ciné/débat : Aux masques Citoyens, le 10 novembre au Majestic.

Organisée par La Ligue des Droits de l’Homme, section de Remiremont, le vendredi 10, novembre à 20h au cinéma Le Majestic de Remiremont, le film « Aux MasquesAux Masques Citoyennes - Ciné-Débat (2) Citoyens » est l’occasion unique d’assister en temps réel à ce que le travail en usine fut au début du XXème siècle… C’est un objet anthropologique, dans la mesure où ces Femmes et ces Hommes, qui ont vécu cette aventure de l’intérieur, ont été confrontés à une urgence, une accélération inouïe, qui les ont forcés à travailler dans des conditions qui ont disparu depuis plusieurs décennies dans nos sociétés.

La première intention du réalisateur était de filmer le présent, le présent chaotique d’une ruche où des couturières confectionnaient des masques dans l’espoir de sauver des vies. En participant, à sa façon, à « l’effort de guerre », Florent Lacaze a compris qu’il faisait un film sur le travail et sur la condition de ces femmes qui, pour des raisons différentes, ont décidé de s’investir dans cette folie au risque de ne pas en sortir indemnes. Elles ont, le temps d’un confinement, vécu ce que leurs arrière-grands-mères ont connu avant les congés payés et les RTT, avant les couleurs, dans une époque en noir et blanc.

Ce voyage dans le temps nous permet de repenser les conditions du travail, de mettre en perceptive, de comprendre notre époque et surtout le rapport qu’aujourd’hui nous entretenons avec le travail.

À l’heure où les français manifestent contre une réforme du régime des retraites, à l’heure où nous sommes nombreux à réfléchir au sens du travail dans notre vie, dans unLigue pays où les acquis sont revisités, ce film est l’occasion de mesurer le chemin parcouru depuis l’âge des premières usines.

« Une belle occasion d’échanger simplement autour d’un sujet qui nous concerne tous, et de permettre à chacun de s’exprimer sur ce que le travail en commun peut apporter comme réconfort. » soulignent les membres de la LDH.

 

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