Elle est désormais bien ancrée dans l’esprit des familles la fête des grand-mères, dont la célébration est fixée au premier dimanche de mars. Une fête qui s’inscrit donc pour le 3 mars en cette année 2024. L’occasion d’en évoquer toute l’importance, mais encore les tendances, lors d’un entretien avec Daniel Fresse, fleuriste installé depuis 37 ans rue du Canton.
Mais retour en premier lieu sur les origines de cette fête instaurée en 1987. Elle fut mise en place à l’initiative de l’association « Fête des grand-mères » créée précisément – et ça ne s’invente pas – par le café « Grand’Mère », une marque française appartenant à l’époque au groupe agroalimentaire Jacobs Suchard.
La popularité de cette fête va alors croissante au fil des années suivant son lancement. Elle est aussi l’objet de différents ateliers et de concours dans les écoles. La fête des grand-mères apparaît également mentionnée sur la plupart des calendriers. Fin 2008, elle est l’occasion d’une étude sociologique commandée par l’association « Fête des grand-mères », étude consacrée au rôle et à la place des grand-mères dans les familles, mais encore dans la société.
Une autre étude, entreprise en parallèle, démontre par ailleurs que cette fête traduit un impact significatif sur la vente de petits végétaux et de compositions florales.
La couleur jaune, symbole de l’affection portée aux mamies
A l’enseigne l’Amaryllis, rue du Canton, le fleuriste Daniel Fresse confirme cette nette évolution, la fête des grand-mères faisant aujourd’hui partie des principales occasions d’offrir des fleurs. Il confie notamment : « au sein des familles, on aime les grand-mères car elles restent des personnes qui rendent de multiples services. Et nombreux sont celles et ceux qui honorent ce jour-là les grand-mères disparues ».
Le fleuriste évoque aussi une couleur dominante entourant cette journée consacrée aux mamies : « c’est le jaune, symbole de lumière et de soleil reflétant la présence appréciée de ces mêmes mamies auprès de soi ». Des compositions faites de petits narcisses, jonquilles, et autres fleurs à bulbes « très prisées pour l’occasion, de même que les pensées pour l’extérieur ».
Daniel Fresse ajoute : « l’orchidée fait aussi partie des choix faits et le bouquet rond avec sa réserve d’eau se présente comme une alternative pratique à remettre à une grand-mère se trouvant par exemple en Ehpad ». Une chose est sûre, dimanche, toutes les attentions seront portées en direction de celles qui demeurent ou restent nos chères mamies de tous les instants…
Elle est désormais bien ancrée dans l’esprit des familles la fête des grand-mères, dont la célébration est fixée au premier dimanche de mars. Une fête qui s’inscrit donc pour le 3 mars en cette année 2024. L’occasion d’en évoquer toute l’importance, mais encore les tendances, lors d’un entretien avec Daniel Fresse, fleuriste installé depuis 37 ans rue du Canton.
Mais retour en premier lieu sur les origines de cette fête instaurée en 1987. Elle fut mise en place à l’initiative de l’association « Fête des grand-mères » créée précisément – et ça ne s’invente pas – par le café « Grand’Mère », une marque française appartenant à l’époque au groupe agroalimentaire Jacobs Suchard.
La popularité de cette fête va alors croissante au fil des années suivant son lancement. Elle est aussi l’objet de différents ateliers et de concours dans les écoles. La fête des grand-mères apparaît également mentionnée sur la plupart des calendriers. Fin 2008, elle est l’occasion d’une étude sociologique commandée par l’association « Fête des grand-mères », étude consacrée au rôle et à la place des grand-mères dans les familles, mais encore dans la société.
Une autre étude, entreprise en parallèle, démontre par ailleurs que cette fête traduit un impact significatif sur la vente de petits végétaux et de compositions florales.
La couleur jaune, symbole de l’affection portée aux mamies
A l’enseigne l’Amaryllis, rue du Canton, le fleuriste Daniel Fresse confirme cette nette évolution, la fête des grand-mères faisant aujourd’hui partie des principales occasions d’offrir des fleurs. Il confie notamment : « au sein des familles, on aime les grand-mères car elles restent des personnes qui rendent de multiples services. Et nombreux sont celles et ceux qui honorent ce jour-là les grand-mères disparues ».
Le fleuriste évoque aussi une couleur dominante entourant cette journée consacrée aux mamies : « c’est le jaune, symbole de lumière et de soleil reflétant la présence appréciée de ces mêmes mamies auprès de soi ». Des compositions faites de petits narcisses, jonquilles, et autres fleurs à bulbes « très prisées pour l’occasion, de même que les pensées pour l’extérieur ».
Daniel Fresse ajoute : « l’orchidée fait aussi partie des choix faits et le bouquet rond avec sa réserve d’eau se présente comme une alternative pratique à remettre à une grand-mère se trouvant par exemple en Ehpad ». Une chose est sûre, dimanche, toutes les attentions seront portées en direction de celles qui demeurent ou restent nos chères mamies de tous les instants…
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