Pub
Pub
Pub
Pub
S'abonner à la newsletter
Pub
Pub
Pub
Pub

dimanche 07 juillet

A 2 mois de la retraite, Jean-Luc et Sylvie Gérard sont en quête d’un repreneur…

0 commentaire

0

Écouter cet article

C’est une entité romarimontaine sous l’enseigne « l’Epi d’Or » qui s’apprête à fermer dans 2 mois. L’heure de la retraite va sonner pour Jean-Luc et Sylvie Gérard, boulangers-pâtissiers installés au 25 rue de la Xavée. Il s’agit là d’un commerce tenu par une même famille depuis 1966. Une boulangerie-pâtisserie dont le destin est désormais lié à une reprise…

Presque 60 ans que le nom de la famille Gérard s’est inscrit ici. Marcel et Marie-Huberte ont débuté l’affaire il y a 58 ans. Un commerce que le couple a su faire prospérer efficacement, rejoints une quinzaine d’années plus tard par leur fils Jean-Luc et son épouse Sylvie. Tous deux y ont appris les ficelles du métier, ne comptant aucunement leurs heures de présence.

Sylvie Gérard espère une reprise de la boulangerie-pâtisserie au moment du départ en retraite.

En 1991, ils reprennent à leur compte le commerce, lui donnant un nouvel élan en investissant dans du matériel et en apportant un coup de jeune au magasin de vente. La boulangerie-pâtisserie « l’Epi d’Or » étend alors sa renommée, d’autant que Jean-Luc est également un talentueux chocolatier. L’élaboration de chocolats-maison vient ajouter un vrai plus à l’activité pâtissière, tout en attirant une nouvelle clientèle. Parmi les spécialités, figurent aussi les fameuses nonnettes et loriquettes de Remiremont.

La retraite oui, mais pas avec l’amertume de devoir fermer

Le couple Jean-Luc et Sylvie Gérard ont été à leur tour rejoints par leur fils Sébastien, lui aussi titulaire d’un diplôme de pâtissier-chocolatier. Avec Jean-François, le boulanger, « l’Epi d’Or » recense trois hommes au fournil. Le magasin est géré par Sylvie, présente tôt le matin ainsi que le soir, le service en journée étant assuré par sa sœur Valérie, elle-même relayée par Laura, la vendeuse.

La boulangerie-pâtisserie occupe donc aujourd’hui six personnes. Jean-Luc et Sylvie y entretiennent un esprit familial, pleinement partagé par la clientèle. Mais à deux mois de la retraite, le couple Gérard est envahi d’une certaine amertume, car faute de repreneur, « l’Epi d’Or » devra alors fermer. En effet, ainsi que nous le précise Sylvie, «notre fils Sébastien est toujours célibataire à 35 ans et seul il ne peut envisager reprendre l’affaire ».

Pour la pérennité de ce commerce, un message est donc envoyé à destination de couples boulangers-pâtissiers désireux de s’investir ou de profiter d’un changement. Un numéro de téléphone est à composer, le 03.29.62.02.88.

L'Epi d'Or

C’est une entité romarimontaine sous l’enseigne « l’Epi d’Or » qui s’apprête à fermer dans 2 mois. L’heure de la retraite va sonner pour Jean-Luc et Sylvie Gérard, boulangers-pâtissiers installés au 25 rue de la Xavée. Il s’agit là d’un commerce tenu par une même famille depuis 1966. Une boulangerie-pâtisserie dont le destin est désormais lié à une reprise…

Presque 60 ans que le nom de la famille Gérard s’est inscrit ici. Marcel et Marie-Huberte ont débuté l’affaire il y a 58 ans. Un commerce que le couple a su faire prospérer efficacement, rejoints une quinzaine d’années plus tard par leur fils Jean-Luc et son épouse Sylvie. Tous deux y ont appris les ficelles du métier, ne comptant aucunement leurs heures de présence.

Sylvie Gérard espère une reprise de la boulangerie-pâtisserie au moment du départ en retraite.

En 1991, ils reprennent à leur compte le commerce, lui donnant un nouvel élan en investissant dans du matériel et en apportant un coup de jeune au magasin de vente. La boulangerie-pâtisserie « l’Epi d’Or » étend alors sa renommée, d’autant que Jean-Luc est également un talentueux chocolatier. L’élaboration de chocolats-maison vient ajouter un vrai plus à l’activité pâtissière, tout en attirant une nouvelle clientèle. Parmi les spécialités, figurent aussi les fameuses nonnettes et loriquettes de Remiremont.

La retraite oui, mais pas avec l’amertume de devoir fermer

Le couple Jean-Luc et Sylvie Gérard ont été à leur tour rejoints par leur fils Sébastien, lui aussi titulaire d’un diplôme de pâtissier-chocolatier. Avec Jean-François, le boulanger, « l’Epi d’Or » recense trois hommes au fournil. Le magasin est géré par Sylvie, présente tôt le matin ainsi que le soir, le service en journée étant assuré par sa sœur Valérie, elle-même relayée par Laura, la vendeuse.

La boulangerie-pâtisserie occupe donc aujourd’hui six personnes. Jean-Luc et Sylvie y entretiennent un esprit familial, pleinement partagé par la clientèle. Mais à deux mois de la retraite, le couple Gérard est envahi d’une certaine amertume, car faute de repreneur, « l’Epi d’Or » devra alors fermer. En effet, ainsi que nous le précise Sylvie, «notre fils Sébastien est toujours célibataire à 35 ans et seul il ne peut envisager reprendre l’affaire ».

Pour la pérennité de ce commerce, un message est donc envoyé à destination de couples boulangers-pâtissiers désireux de s’investir ou de profiter d’un changement. Un numéro de téléphone est à composer, le 03.29.62.02.88.

0 commentaire

Laisser un commentaire