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vendredi 28 juin

Comprendre la robotique et l’intelligence artificielle par le biais du théâtre

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Les élèves de seconde du lycée André Malraux de Remiremont, ont assisté ce vendredi 24 mai, à une représentation théâtrale sur la robotique et l’intelligence artificielle.

C’est dans l’amphithéâtre de l’établissement que se tenait un théâtre d’improvisation joué par 3 Comédiens de la compagnie «CracheTexte» et faisant intervenir des experts scientifiques de l’université de Lorraine ainsi que des chercheurs du centre de l’INRIA (Institut National des Recherches en Sciences et Technologies du Numérique).
Un projet
Le projet, imaginé par 3 acteurs majeurs : le centre INRIA, le Loria (Laboratoire Lorrain de Recherche en Informatique et ses Applications) et la compagnie CracheTexte de Nancy, est un format de médiation scientifique sous forme de théâtre d’improvisation mêlant l’humour en passant par la sensibilisation et l’approche scientifique.
Faire comprendre le monde qui entoure les adolescents, enrichir la culture sur ces outils présents au quotidien dans leur vie, découvrir les métiers de la recherche informatique et ainsi susciter des vocations mais aussi lutter contre la désaffection féminine du métier, sont les objectifs de ce programme.
Le débat scientifique
La représentation, sous forme de courtes scènes, mimait la vie quotidienne d’individus à l’aube du procès d’un drone. Les comédiens : François Barthélémy, Julien Mallet-Cosson et Pauline
Vernier sollicitait les élèves pour nourrir les répliques et le débat de façon ludique. Romain Serizel (maître de conférences à l’université de Lorraine) et Alain Dutech (chercheur INRIA au Loria) sont intervenus entre chaque thématique pour répondre de manière scientifique aux questions posées par les jeunes.
«L’intelligence artificielle existe depuis 1956»

Alain Dutech, chercheur, depuis plus de 30 ans, nous parle de son métier et de la représentation.
– Pourquoi avez vous décidé de participer à ces interventions ?
Pour parler de la science au plus de monde possible sous un format sympathique. Nous animons ceci devant plusieurs types de public.
– Parmi les objectifs définis, il y a la lutte contre la désaffection des femmes dans le métier ?
Oui, un des objectifs est de mobiliser les femmes. Elles sont seulement 15% environ dans la profession. Pourtant, ce poste est tout à fait adapté aux femmes.
– L’intelligence artificielle est de plus en plus présente dans nos vies du quotidien ?
En réalité, l’IA existe depuis 1956 ! Je n’étais pas encore scientifique ! (rire)
D’ailleurs, pour la petite anecdote, j’ai passé mon BAC ici-même, au lycée Malraux !
«Rebondir sur les paroles des experts»
Julien Mallet-Cosson, comédien de la troupe CracheTexte
– Que pouvez-vous nous dire sur le concept ?
C’est de l’improvisation, il faut rebondir sur les paroles des experts pour mettre en scène ces dialogues. On montre les situations, on fait comprendre de manière vulgarisée les propos plus scientifiques.
Pour nous c’est un challenge ! Nous faisons intervenir le public, par exemple, nous les mettons dans la peau de ChatGPT. On crée un univers de façon humoristique.
Les 5 classes de seconde, attentives au débat, n’ont pas manqué de participer et de rire aux répliques.

Alain dutech

Lycée André-Malraux

Les élèves de seconde du lycée André Malraux de Remiremont, ont assisté ce vendredi 24 mai, à une représentation théâtrale sur la robotique et l’intelligence artificielle.

C’est dans l’amphithéâtre de l’établissement que se tenait un théâtre d’improvisation joué par 3 Comédiens de la compagnie «CracheTexte» et faisant intervenir des experts scientifiques de l’université de Lorraine ainsi que des chercheurs du centre de l’INRIA (Institut National des Recherches en Sciences et Technologies du Numérique).
Un projet
Le projet, imaginé par 3 acteurs majeurs : le centre INRIA, le Loria (Laboratoire Lorrain de Recherche en Informatique et ses Applications) et la compagnie CracheTexte de Nancy, est un format de médiation scientifique sous forme de théâtre d’improvisation mêlant l’humour en passant par la sensibilisation et l’approche scientifique.
Faire comprendre le monde qui entoure les adolescents, enrichir la culture sur ces outils présents au quotidien dans leur vie, découvrir les métiers de la recherche informatique et ainsi susciter des vocations mais aussi lutter contre la désaffection féminine du métier, sont les objectifs de ce programme.
Le débat scientifique
La représentation, sous forme de courtes scènes, mimait la vie quotidienne d’individus à l’aube du procès d’un drone. Les comédiens : François Barthélémy, Julien Mallet-Cosson et Pauline
Vernier sollicitait les élèves pour nourrir les répliques et le débat de façon ludique. Romain Serizel (maître de conférences à l’université de Lorraine) et Alain Dutech (chercheur INRIA au Loria) sont intervenus entre chaque thématique pour répondre de manière scientifique aux questions posées par les jeunes.
«L’intelligence artificielle existe depuis 1956»

Alain Dutech, chercheur, depuis plus de 30 ans, nous parle de son métier et de la représentation.
– Pourquoi avez vous décidé de participer à ces interventions ?
Pour parler de la science au plus de monde possible sous un format sympathique. Nous animons ceci devant plusieurs types de public.
– Parmi les objectifs définis, il y a la lutte contre la désaffection des femmes dans le métier ?
Oui, un des objectifs est de mobiliser les femmes. Elles sont seulement 15% environ dans la profession. Pourtant, ce poste est tout à fait adapté aux femmes.
– L’intelligence artificielle est de plus en plus présente dans nos vies du quotidien ?
En réalité, l’IA existe depuis 1956 ! Je n’étais pas encore scientifique ! (rire)
D’ailleurs, pour la petite anecdote, j’ai passé mon BAC ici-même, au lycée Malraux !
«Rebondir sur les paroles des experts»
Julien Mallet-Cosson, comédien de la troupe CracheTexte
– Que pouvez-vous nous dire sur le concept ?
C’est de l’improvisation, il faut rebondir sur les paroles des experts pour mettre en scène ces dialogues. On montre les situations, on fait comprendre de manière vulgarisée les propos plus scientifiques.
Pour nous c’est un challenge ! Nous faisons intervenir le public, par exemple, nous les mettons dans la peau de ChatGPT. On crée un univers de façon humoristique.
Les 5 classes de seconde, attentives au débat, n’ont pas manqué de participer et de rire aux répliques.

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