A l’heure où nous avons à confier nos suffrages à un candidat de notre circonscription, nous nous permettons de rappeler combien notre responsabilité de citoyen se trouve engagée.
Au titre de militants pour la préservation du vivant par l’action que nous avons engagée à partir de 2018 pour faire interdire l’utilisation de pesticides de synthèses, nous restons très vigilants sur les dispositions de nos futurs députés à ce niveau.
Lors des précédentes législatures les mesures de préservation de nos milieux naturels n’ont pas été à la hauteur de la nécessité absolue d’un engagement responsable :
- des pesticides et métabolites sont présents dans les nappes phréatiques les plus profondes, conséquence de mesures de protection annoncées, non respectées.
- une alarmante perte de la biodiversité ne cesse d’être constatée. Nous notons l’absence de réaction de nos élus malgré les alertes répétées des scientifiques.
Il est maintenant démontré que la situation sanitaire de la population se dégrade. Des médecins et des groupements de mutuelles ont encore très récemment tiré la sonnette d’alarme.
Au quotidien on nous invite à produire et consommer plus. En agriculture la chimie n’est pas le remède miracle et les ressources de notre planète ne sont pas inépuisables. L’agriculture intensive impacte très directement le réchauffement climatique.
En connaissance et pour ces prochaines échéances électorales, les coquelicots des Hautes Vosges ont le devoir de rappeler ces problématiques gravissimes. Choisissons des candidats courageux qui prendront les mesures indispensables à la survie du vivant.
Le Collectif des Coquelicots des Hautes Vosges
