Le samedi 15 Juin, une Journée de sensibilisation au TDAH (Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) a eu lieu à l’Espace du Belvédère de Remiremont, autour d’une conférence animée par le Docteur Jonathan MOUSSA, Médecin Généraliste à Paris, lui-même atteint de ce trouble, qui tient une page Instagram sur le sujet intitulée vie.de.tdah. Lors de cette conférence, il était accompagné par plusieurs membres de l’association Mathilde et ses amis, comme Élodie AMANT, ainsi que de Virginie BOUSLAMA de l’association TypiK’AtypiK.
Lors de cette conférence, le Docteur MOUSSA a donné des informations très intéressantes sur le TDAH, ses symptômes et ses manifestations. Par exemple, il est important de savoir que 3,5 à 5,6 % des enfants scolarisés souffriraient de TDAH en France. Parfois, le diagnostic est posé sur des adultes avec un pourcentage oscillant entre 2,5 et 2,9 %.
Comment cette Journée de sensibilisation au TDAH s’est-elle organisée ?
Élodie AMANT était déjà en contact avec l’association Typik’Atypik et elle est en lien avec le Docteur MOUSSA. En effet, ce dernier est l’ancien élève d’Élodie AMANT. Cette Journée de sensibilisation au TDAH est, une idée de cette dernière et de l’association Mathilde et ses amis dont elle est membre du Conseil d’Administration. Cette idée a été proposée afin de faire avancer les choses, de changer le regard sur ce trouble encore méconnu, de sensibiliser le grand public au TDAH.
À l’issue de cette conférence d’une durée de 1h30, un temps d’échange et de questions-réponses a eu lieu entre les intervenants et le public parmi lequel beaucoup des spectateurs sont également touchés, de près ou de loin, par le TDAH. D’autres, au contraire, sont venus par simple curiosité pour en apprendre davantage sur ce handicap invisible qui peut, parfois, être tardivement diagnostiqué.
Durant cette conférence, le Docteur MOUSSA a également partagé des astuces pour reconnaître le TDAH, à ne pas confondre avec le Trouble du Spectre Autistique (TSA) ou les « Troubles dys- » (dyscalculie, dysorthographie, dysphasie, dyspraxie, etc.) bien que quelqu’un atteint du Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité peut présenter, en plus, certains « troubles dys- », mais, quelque soit le trouble, un diagnostic professionnel par un Médecin est requis afin de chercher les meilleures solutions ainsi que les meilleurs traitements.
À la suite de cette conférence, un autre aspect a été abordé par Augustin BERGEROT : celui de la psychoéducation dans le TDAH avec un zoom sur le jeu interactif Lusha pour les 6-12 ans, avec un concours mis en place pour remporter un abonnement d’un an à ce jeu interactif.
Un événement très intéressant sur un sujet encore méconnu qui mérite davantage de reconnaissance pour que le TDAH ne soit pas confondu avec une « simple agitation ».
Christopher DURAND
Le samedi 15 Juin, une Journée de sensibilisation au TDAH (Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) a eu lieu à l’Espace du Belvédère de Remiremont, autour d’une conférence animée par le Docteur Jonathan MOUSSA, Médecin Généraliste à Paris, lui-même atteint de ce trouble, qui tient une page Instagram sur le sujet intitulée vie.de.tdah. Lors de cette conférence, il était accompagné par plusieurs membres de l’association Mathilde et ses amis, comme Élodie AMANT, ainsi que de Virginie BOUSLAMA de l’association TypiK’AtypiK.
Lors de cette conférence, le Docteur MOUSSA a donné des informations très intéressantes sur le TDAH, ses symptômes et ses manifestations. Par exemple, il est important de savoir que 3,5 à 5,6 % des enfants scolarisés souffriraient de TDAH en France. Parfois, le diagnostic est posé sur des adultes avec un pourcentage oscillant entre 2,5 et 2,9 %.
Comment cette Journée de sensibilisation au TDAH s’est-elle organisée ?
Élodie AMANT était déjà en contact avec l’association Typik’Atypik et elle est en lien avec le Docteur MOUSSA. En effet, ce dernier est l’ancien élève d’Élodie AMANT. Cette Journée de sensibilisation au TDAH est, une idée de cette dernière et de l’association Mathilde et ses amis dont elle est membre du Conseil d’Administration. Cette idée a été proposée afin de faire avancer les choses, de changer le regard sur ce trouble encore méconnu, de sensibiliser le grand public au TDAH.
À l’issue de cette conférence d’une durée de 1h30, un temps d’échange et de questions-réponses a eu lieu entre les intervenants et le public parmi lequel beaucoup des spectateurs sont également touchés, de près ou de loin, par le TDAH. D’autres, au contraire, sont venus par simple curiosité pour en apprendre davantage sur ce handicap invisible qui peut, parfois, être tardivement diagnostiqué.
Durant cette conférence, le Docteur MOUSSA a également partagé des astuces pour reconnaître le TDAH, à ne pas confondre avec le Trouble du Spectre Autistique (TSA) ou les « Troubles dys- » (dyscalculie, dysorthographie, dysphasie, dyspraxie, etc.) bien que quelqu’un atteint du Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité peut présenter, en plus, certains « troubles dys- », mais, quelque soit le trouble, un diagnostic professionnel par un Médecin est requis afin de chercher les meilleures solutions ainsi que les meilleurs traitements.
À la suite de cette conférence, un autre aspect a été abordé par Augustin BERGEROT : celui de la psychoéducation dans le TDAH avec un zoom sur le jeu interactif Lusha pour les 6-12 ans, avec un concours mis en place pour remporter un abonnement d’un an à ce jeu interactif.
Un événement très intéressant sur un sujet encore méconnu qui mérite davantage de reconnaissance pour que le TDAH ne soit pas confondu avec une « simple agitation ».
Christopher DURAND
Lors de cette conférence, le Docteur MOUSSA a donné des informations très intéressantes sur le TDAH, ses symptômes et ses manifestations. Par exemple, il est important de savoir que 3,5 à 5,6 % des enfants scolarisés souffriraient de TDAH en France. Parfois, le diagnostic est posé sur des adultes avec un pourcentage oscillant entre 2,5 et 2,9 %.
1 commentaire
Roussy
J’ai super bien aimer cette conférence à refaire merci corinne