Parce que le FIG est un Festival, plusieurs spectacles et animations sont proposés pour profiter d’un moment de culture et d’émerveillement autour du thème phare cette année : La Terre.
Spectacle par la Cie Le Jardin des Délices – Dès 5 ans
Le public s’installe tout autour d’une piste recouverte de boue blanche. Au centre de cette piste, un jongleur en complet veston cumule les difficultés : ne pas se salir, ne pas glisser, ne pas faire tomber sa balle, tout en tentant des figures de plus en plus complexes. Ça colle, ça glisse, ça tache… GADOUE, c’est le plaisir de la patouille, le frisson du défendu, la joie du pas correct. |
Dans sa performance Transfiguration, basée sur un sur-modelage du visage et du corps tout entier avec de l’argile, Olivier de Sagazan change d’identité sur scène. Des masques crées en aveugle se succèdent dans une succession effrénée pour tourner autour d’une sorte d’attracteur étrange qui constituerait le noyau de son être.
|
|
Y’a Quelqu’un ? (titre provisoire)
Sortie de résidence O. De Sagazan – Dès 14 ans
Mercredi 30 octobre à 19h30 – La Nef
|
Olivier de Sagazan revient le 30 octobre pour présenter une séquence de sa nouvelle création : Y’a quelqu’un ? Dans cette œuvre, l’artiste interroge sa toile et son rapport à la création. « N’est-il pas sot et fou le peintre à ainsi s’exténuer dans la re-présentation? Ne lui suffit-il pas d’être là, une fois ? Et pourquoi l’obsession de ce « deux » ? ». L’artiste investit l’agrile avec son corps pour en faire de multiples représentations.
|
Réservation conseillée depuis la billetterie ICI
L’association Côté Jardin propose de découvrir Vivarium , un seul-en-scène d’après Gros-Câlin de Romain Gary par Fred Cacheux. Une pièce de théâtre mêlant rires et émotions à travers le personnage de Monsieur Cousin, un timide statisticien. Pour combler son manque de tendresse, il a adopté un python et l’a nommé Gros-Câlin. Son joyeux optimisme est ridicule, pathétique et surtout très émouvant.
Il tient à raconter son histoire et que tout soit dit. Car avoir un python chez soi ne simplifie pas les relations sociales. D’autant que Monsieur Cousin est amoureux de Mademoiselle Dreyfus, sa collègue de bureau. Et il nous entraîne dans ses méandres. Car ce n’est pas l’homme qui conduit le récit, mais le récit qui conduit l’homme. |
0 commentaire