Le député Christophe Naegelen s’est exprimé publiquement sur sa décision de ne pas soutenir la motion de censure votée à l’Assemblée nationale, entraînant la démission du gouvernement. Cet événement, une première depuis 1962, suscite de nombreux débats politiques, mais pour l’élu, le pragmatisme et l’intérêt du pays ont guidé sa décision.
Une décision pour la stabilité
Dans sa déclaration, Christophe Naegelen reconnaît les critiques envers le gouvernement, tant sur le fond que sur la forme, mais souligne les enjeux cruciaux auxquels la France fait face. « Nous avons besoin de stabilité », affirme-t-il, expliquant que des changements fréquents de gouvernement risquent d’aggraver la situation économique et sociale.
Il insiste sur plusieurs priorités nécessitant cette stabilité :
- Redonner confiance pour relancer la consommation, qui génère une part importante des recettes de l’État.
- Assurer une crédibilité auprès des partenaires financiers et maintenir des taux d’emprunt favorables.
- Permettre aux entreprises de relancer leurs investissements et mettre en œuvre une politique agricole protectrice.
- Garantir la continuité des politiques publiques dans des secteurs clés comme la santé et l’éducation.
Un choix « pragmatique et responsable »
Pour Christophe Naegelen, l’urgence n’est pas dans les postures politiciennes, mais dans la mise en œuvre de solutions budgétaires adaptées : « Nous préférons porter avec mon groupe des modifications budgétaires qui vont dans le bon sens, sur les recettes comme sur les dépenses. » Il appelle également à dépasser les clivages politiques : « Il est nécessaire de mettre de côté les égos et de travailler ensemble avec nos différences pour l’intérêt commun. »
Une Assemblée en pause jusqu’à la nomination du nouveau gouvernement
Suite à la motion de censure, Christophe Naegelen a représenté son groupe à la conférence des Présidents, où la suite des travaux parlementaires a été discutée. Si les commissions, questions écrites et missions d’information se poursuivent, les projets de loi et les questions au gouvernement sont suspendus jusqu’à la nomination du nouvel exécutif.
En conclusion, Christophe Naegelen assume pleinement son choix, motivé par une vision pragmatique et responsable pour le pays.
lundi 16 décembre
Dernières actus
Quelques questions au réalisateur Jean Becker (L’été meurtrier, Les enfants du marais…) |
Vandalisme à Pouxeux et Jarménil : un cerf lumineux saboté et éteint pour les fêtes |
Remiremont : La gestion de l’eau confiée à Saur pour 15 ans |
Une étude en vue pour transformer la friche de la rue des Brasseries à Remiremont |
1 commentaire
Marchand de sable
Monsieur le député nous conte la partie « recettes »…..Il manque la partie « dépenses » (que la population paye), le pan des explosions des taxes, la soumission renouvelée aux accords d’énergie européens passés à perte (le kw à 27 centimes pour de l’électricité produite par l’outil payé par les français), le matraquage fiscal atteignant dorénavant les plus petits revenus… (la vallée est riche?)
L’absence d’économies sérieuses sur des milliards versés sans contrôles à des associations, bureaux, comités…. Subversives, souvent fascistes et rouges ou communautaristes arrogantes « Une sébile dans une main, un cocktail Molotov dans l’autre »
Les milliards donnés, donnés à des pays qui nous haïssent, l’immigration portes grandes ouvertes, l’obligation de s’agenouiller sous peine d’anathème bolchevique, la palme revenant à l’Algérie et des accords ahurissants.
Il en manque.
« L’agriculture » commençons par les « normes » plus sévères en France qu’imposées par l’Europe et pourquoi…