L’artiste René Vincent-Viry présentera son nouvel ouvrage « Derrière la toile » à La Maison de La Presse à La Bresse ce dimanche 15 décembre de 9 h à 12 h. Retrouvez également ses 3 précédents livres.
Artiste peintre de profession, né en 1952 dans les Hautes-Vosges, René Vincent-Viry quitte l’école en 1966 à l’âge de quatorze ans pour se consacrer au long apprentissage du métier de peintre en bâtiment puis celui de décorateur à l’école Blot de Reims. Trois années de travail dans une entreprise Nancéienne 
complèteront sa formation avant de créer son atelier de peinture et sérigraphie publicitaire en 1973 à La Bresse. Cette profession le mène en 1995 à oeuvrer aux décors d’opéra et de théâtre, particulièrement au Grand Théâtre de Genève, au Théâtre des Célestins à Lyon, au Théâtre de La Colline à Paris, mais également à la restauration de peintures anciennes sur les chemins du baroque savoyard et à la réalisation de nombreuses fresques et trompes l’œil au coeur des Vosges.
Loin de cet art réaliste, c’est sur la toile qu’il se plais à exprimer avec abstraction ses émotions. En 2005, il crée sa galerie de peinture. Parallèlement à cette profession, il ne cesse tout au long de sa carrière d’exercer son autre passion, le théâtre où, au jeu de la comédie, il mêle le travail de décorateur puis celui de la mise en scène. La littérature théâtrale l’incite à persévérer discrètement dans l’écriture. Après son premier ouvrage écrit et mis en 
scène: « Règlements de comptes de dernière minute », sont édités plusieurs écrits: « Vosges atmosphères d’un vieux massif; « Itinéraire insolite d’un homme ordinaire » roman autobiographique; « Prises de rires » récit romancé de quarante années de farces et de poissons d’avril; « Mystérieuse Flore » un roman dont l’intrigue haletante se déroule au coeur des Vosges.
» Derrière la toile » son dernier ouvrage, va paraître début septembre. Peindre un sujet pendant des mois pour tenter de retrouver sur la toile un bonheur perdu. Echouer, recommencer sans cesse, lutter avec une détermination farouche afin d’atteindre l’inaccessible. Persévérer jusqu’à la déchirure et se retrouver dans la toile auprès de personnages célèbres venus d’un autre temps.
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