D’avril à octobre, ces petites bêtes pullulent dans les zones boisées et humides mais aussi dans les herbes hautes des prairies et des jardins. Plaquettes, site internet, les supports ont été multipliés pour sensibiliser le grand public au risque encouru, des panneaux d’information ont également été installés dans des lieux stratégiques, notamment aux abords des forêts et départs de sentiers de randonnée comme ici au Haut du Tôt.
Balades à pied, à VTT, pour la cueillette de myrtilles ou de champignons, ou tout simplement pour prendre l’air, les motivations pour se rendre en forêt sont multiples. Reste qu’il faut être vigilants et prendre quelques précautions car une piqûre de tique peut avoir de lourdes conséquences si la tique est porteuse de maladie. En effet, bien qu’indolore, sa piqûre peut provoquer des maladies graves type maladie de Lyme. Mais rassurez-vous, toutes les tiques ne sont pas infectées.
Comment s’en protéger ?
– En portant des vêtements longs et amples, couvrant les bras et les jambes.
– En rentrant le bas du pantalon dans les chaussettes.
– En mettant un chapeau et éventuellement du répulsif sur les vêtements même si l’efficacité de ce dernier n’est pas prouvée.
Au retour de la promenade, une vérification minutieuse de chaque partie du corps s’impose, tout spécialement les plis, le nombril et le cuir chevelu.
Comment retirer une tique si on a été piqué ?
Ôtez la tique avec un tire-tique ou à défaut une pince à épiler, en tournant délicatement dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. N’utilisez pas d’alcool ou d’huile. Surveillez la zone de morsure pendant plusieurs jours et consultez un médecin en cas de changement d’aspect (rougeur diffuse importante autour de la morsure).
Pour en savoir plus www.gareauxtiques.fr
Source : www.vosgesmag.fr
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