La crise de la Covid-19, qui s’est installée depuis maintenant deux ans en toile de fond de l’actualité, et les diverses restrictions qui y sont liées, ont impacté de manière importante le fonctionnement des entreprises et des associations. Malgré ces désagrément, le club de Judo et Taïso se porte bien.
Le nombre d’adhérents pour la saison 2019/2020 était de 270. Il était passé pour la saison 2020/2021 à 200. Actuellement, il y a 210 adhérents. Une petite baisse, donc, l’année passée. « On espère que ça va repartir une fois que tout cela sera fini », affirme Nathalie Ferry, présidente du club. Et on espère que ce sera fini rapidement.
Quoi qu’il en soit, la vie du club continue, avec les entraînements et les compétitions. Pour ceux qui voudraient découvrir les disciplines proposés, deux séances d’essai sont possibles au dojo. Puis l’adhésion est proposée avec un tarif de cotisation dégressif en ce milieu d’année.
Pour ceux qui sont déjà membres du club, la période actuelle est celle du passage des ceintures. Il y en a deux fois dans l’année, en février et en mai/juin. Dpuis septembre, les judokas apprennent de nouvelles techniques. Il y a aussi à connaître un code moral, des expressions, des points de culture générale.
« On a de bons judokas », affirme Nathalie Ferry. Le jeune Layla Berg, notamment, souvent qualifiée en championnats, qui prépare actuellement un Certificat de qualification professionnelle, pour devenir éventuellement professeur de judo ou éducatrice.
Après la création d’une section sportive pour les lycéens il y a environ deux ans, le club assure depuis septembre 2021 une section au collège du Tertre. Trois heures par semaine, sur le temps scolaire, un entraînement est organisé avec deux professeurs. Le club finance complètement cette section sportive collège.
L’autre activité phare du club, c’est bien entendu le Taïso. De la cardio et du renforcement musculaire. L’été dernier, des séances ont été organisées en plein air, au Plan d’eau de Remiremont. Une formule qui a plu et qui devrait être renouvelée. « C’est accessible à tous, dans le sens où chacun fait ce qu’il peut (…) A son rythme », explique Nathalie Ferry. Selon la condition physique, les exercices peuvent être modifiés. « Le professeur adapte le mouvement selon chacun ».
Avec le crise de la Covid, comme dans de nombreuses association, il faut voir ce qui va pouvoir être fait cette année. Côté Judo, les bénévoles voudraient organiser un « Challenge des Hautes Vosges » pour les plus petits, de 5 à 10 ans. L’événement devrait avoir lieu au mois de mai.
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