À l’occasion de l’ouverture de la pêche, les gendarmes vosgiens ont mené plusieurs contrôles ce week-end pour s’assurer du respect de la réglementation en vigueur. Les militaires de la compagnie de Saint-Dié-des-Vosges ont ainsi été déployés sur plusieurs communes, notamment à Saint-Léonard, Ban-sur-Meurthe-Clefcy, La Chapelle-devant-Bruyères et dans le secteur de la Mortagne.
Des contrôles préventifs et rassurants
En collaboration avec les garde-pêches, les forces de l’ordre ont multiplié les contacts avec les pêcheurs présents sur les différents sites. L’objectif de ces contrôles est de garantir des pratiques respectueuses de l’environnement et de sensibiliser les amateurs de pêche à l’importance de préserver les écosystèmes aquatiques.
Aucun incident ni infraction constatés
À l’issue de ces opérations de surveillance, aucune infraction n’a été relevée, signe d’une ouverture de la pêche placée sous le signe du respect et de la responsabilité. Cette vigilance des autorités vise à assurer un équilibre entre la pratique de la pêche et la préservation du patrimoine naturel vosgien.
Ces contrôles, amenés à être renouvelés tout au long de la saison, rappellent l’engagement des forces de l’ordre et des acteurs locaux pour une pêche durable et réglementée.
1 commentaire
Thierry
Aucune infraction constatée, c’est une bonne chose. D’ailleurs les pêcheurs en grande majorité sont des gens responsables, très respectueux du milieu aquatique. C’est bien, SAUF QUE, moi la question que je me pose, c’est si les pêcheurs à plumes noires qui volent en grand nombre dans le ciel vosgien, j’ai nommé le grand cormoran, ont respecté la réglementation ? Ont ils pêché que des truites faisant la taille ? Ont ils épargné l’ombre commun en période de fermeture ?
En tout cas, moi pêcheur sur le secteur de Remiremont, la Moselle, je peux vous dire que ces oiseaux l’ont bien détruit ce patrimoine naturel vosgien et ce depuis maintenant 30 ans. Il suffit de se promener sur les bords de la rivière, d’observer les bancs de sables au soleil, de se pencher par dessus les parapets des ponts, pour constater qu’il n’y a quasiment plus de poissons, comme dans beaucoup de rivières fran9aises. C’est un désastre. Comprenne qui pourra ?