Ce dimanche 13 avril, le tiers-lieu Sainplement à Remiremont a accueilli une conférence-débat consacrée au Covid long et aux effets secondaires de la vaccination contre le Covid-19. Organisée sous forme de table ronde, la rencontre a réuni des victimes, des familles de victimes, des chercheurs, des juristes et des journalistes indépendants, dans une volonté d’échange d’expériences et d’informations.
La conférence a notamment été marquée par les interventions, en visioconférence, de Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, et du Dr Hervé Seligmann, chercheur biomédical, qui ont abordé les effets biologiques potentiels des vaccins anti-Covid, en particulier les effets secondaires signalés par certains patients.
Plusieurs représentants d’associations étaient également présents, comme Mathieu Dubois, président de l’AAVIC Team, une association nationale regroupant des personnes déclarant avoir subi des effets indésirables graves post-vaccination. Alain Maupas, vice-président de l’association et père de Mélanie Maupas, 36 ans, atteinte de la maladie de Charcot après une troisième injection du vaccin Pfizer, a témoigné de l’impact de cette situation sur sa famille.
Parmi les autres participants figuraient Julia Walter, Cynthia Thévenot (présidente de l’association « On a eu not’ dose »), Aurore, toutes se déclarant victimes d’effets indésirables, ainsi que Maimouna Niane-Faivre, présidente du tiers-lieu Sainplement. Cette dernière a partagé un témoignage personnel poignant, évoquant ses propres problèmes de santé graves et invalidants survenus après une troisième dose du vaccin Moderna.
La conférence a également accueilli Diane Richard, journaliste indépendante et membre des Dépêches citoyennes, ainsi qu’une avocate spécialisée dans la défense des professionnels de santé ayant perdu leur emploi pour avoir refusé la vaccination obligatoire.
Environ 35 à 40 personnes ont assisté à cette rencontre, avec un moment dédié aux questions-réponses entre le public et les intervenants. En extérieur, des affiches ont été installées, représentant des personnes affirmant avoir été victimes d’effets secondaires post-vaccination et malheureusement, de personnes décédées.
4 commentaires
ROLLIN
Incroyable ces complotistes…
Ridicule ce genre de fausse info.
Anne Marie Dufrasne
Désolée de ne pas avoir pu être présente Cela doit être dit et AUSSI pou celles et ceux qui ne sont plus en capacité de le relater
Rodolphe Deteve
Bonjour a tous un très bel échange pour les victimes des injections expérimentales, mais je me pose une question, que sont devenus les 14 meurtres du CH Remiremont, bientôt je serais présent devant l’hôpital avec Pinocchio-hdf afin de dénoncer ces crimes abjects et l’inactivité de la justice qui couvre ces crimes Personnellement je mène un combat sans relâche contre le Meurtre de ma mère Liliane Deteve empoisonné au CHU Amiens Picardie par Tramadol en 24h. Et si l’un de vos proches été tué dans cet hôpital de l’horreur,que feriez vous ?
Pfeiffer
Excellent article relatant le parcours difficile et douloureux des victimes présentes des effets indésirables graves de l’ injection anti-covid. L’ article résume très bien l’ apport scientifique de Jean Marc Sabatier, Directeur au CNRS et de Dr Hervé Seligmann internationalment reconnu qui démontrent de manière factuelle les nombreux effets secondaires de l’ injection anti-covid. Un » vaccin » en phase test qui a fait des millions de victimes attestées par toutes les pharmacovigilance internationales : l’ ANSM, ,L’ Eudravigilance, le Yellow Carte Système, le VAERS, le Paul Ehrlich Institut, le RKI…
Les protocoles internes de l’ institut allemand RKI, qui devait gérer les mesures sanitaires pendant la crise du Covid démontrent de manière irréfutable et ce sont des preuves devant les tribunaux que les mesures ne se basent pas sur la science mais c’ était un choix purement politique et ainsi le plus grand scandale médical politique depuis la deuxième guerre mondiale. Merci d’ avoir relaté les témoignages des victimes iElles se battent pour la reconnaissance et aussi contre l’ indifférence et l’ errance médicale dans laquelle elles. sont plongées.