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vendredi 28 juin

Elections législatives anticipées : Julie Xicola est la candidate du Nouveau Front Populaire dans la deuxième circonscription des Vosges

Son suppléant est Joris Trubert

3 commentaires

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Suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale, des élections législatives anticipées se tiendront les dimanches 30 juin et 7 juillet prochain. Dans la deuxième circonscription des Vosges, Julie Xicola est la candidate du Nouveau Front Populaire, sous l’étiquette de La France Insoumise – LFI. Conseillère Principale d’Education du lycée déodatien Jean-Baptiste Jacques-Augustin, Julie Xicola est militante syndicaliste depuis une douzaine d’années chez Sud Education, où elle a été responsable syndicale. Son suppléant est Joris Trubert, étudiant entrepreneur qui a pour projet de lancer son entreprise de traitement de déchets.

Se définissant avant tout comme une citoyenne, « je ne suis pas politicienne du tout », Julie Xicola se présente pour la première fois à une élection. Installée en Déodatie depuis l’an dernier, à Moussey, la candidate du Nouveau Front Populaire estime que ces législatives anticipées sont « pleines de dangers. Il y a un risque aujourd’hui d’avoir un Parlement, et peut-être même un Gouvernement, d’extrême droite. Je suis inquiète pour la santé, la culture, l’éducation et les libertés publiques. Je me suis dit que ce n’était pas possible de ne rien faire. »

Julie Xicola, qui a « beaucoup manifesté contre la réforme des retraites en 2023, et plus généralement contre l’autoritarisme du Gouvernement », veut à travers sa candidature « remettre l’être humain au centre des préoccupations. La société aujourd’hui est très violente. Il y a une augmentation du nombre de personnes sous le seuil de pauvreté. De plus en plus de monde se trouve en situation de précarité. Il y a un sentiment très fort de déclassement en France. Alors que depuis l’arrivée de monsieur Macron au pouvoir, il y a une augmentation sensible du nombre de millionnaires et milliardaires. Ce qui n’est pas normal. Je voudrais juste que les choses soient normales ».

Travailler pour davantage de justice sociale et fiscale, « en redirigeant les aides vers les petites entreprises et non plus les grosses sociétés, qui n’en ont pas besoin », rendre les services publics physiques plus accessibles, « pour qu’ils soient à une distance raisonnable des habitants », lutter contre les déserts médicaux, « en développant le modèle des maisons de santé pour donner aux professionnels de santé un cadre de travail qui donne envie », renforcer l’offre de transports pour plus de mobilité, « en particulier le train où aujourd’hui beaucoup de petites gares ne sont pas desservies »… sont les grands axes de la campagne de Julie Xicola.

Pour la candidate du Nouveau Front Populaire, ces axes visent à « rendre davantage attractif le territoire de la circonscription, qui n’a pas de perspectives d’emploi énormes. Il faut notamment aider les jeunes, qui sont très précarisés. Il faut aussi lutter contre la précarité à la campagne, où beaucoup de gens vivent sous le seuil de pauvreté. Il faut qu’aujourd’hui chacun puisse vivre décemment. »

J.J.

Deuxième circonscription des Vosges

Elections législatives anticipées 2024

Julie Xicola

la France Insoumise

Nouveau Front Populaire

Suite à la dissolution de l’Assemblée Nationale, des élections législatives anticipées se tiendront les dimanches 30 juin et 7 juillet prochain. Dans la deuxième circonscription des Vosges, Julie Xicola est la candidate du Nouveau Front Populaire, sous l’étiquette de La France Insoumise – LFI. Conseillère Principale d’Education du lycée déodatien Jean-Baptiste Jacques-Augustin, Julie Xicola est militante syndicaliste depuis une douzaine d’années chez Sud Education, où elle a été responsable syndicale. Son suppléant est Joris Trubert, étudiant entrepreneur qui a pour projet de lancer son entreprise de traitement de déchets.

Se définissant avant tout comme une citoyenne, « je ne suis pas politicienne du tout », Julie Xicola se présente pour la première fois à une élection. Installée en Déodatie depuis l’an dernier, à Moussey, la candidate du Nouveau Front Populaire estime que ces législatives anticipées sont « pleines de dangers. Il y a un risque aujourd’hui d’avoir un Parlement, et peut-être même un Gouvernement, d’extrême droite. Je suis inquiète pour la santé, la culture, l’éducation et les libertés publiques. Je me suis dit que ce n’était pas possible de ne rien faire. »

Julie Xicola, qui a « beaucoup manifesté contre la réforme des retraites en 2023, et plus généralement contre l’autoritarisme du Gouvernement », veut à travers sa candidature « remettre l’être humain au centre des préoccupations. La société aujourd’hui est très violente. Il y a une augmentation du nombre de personnes sous le seuil de pauvreté. De plus en plus de monde se trouve en situation de précarité. Il y a un sentiment très fort de déclassement en France. Alors que depuis l’arrivée de monsieur Macron au pouvoir, il y a une augmentation sensible du nombre de millionnaires et milliardaires. Ce qui n’est pas normal. Je voudrais juste que les choses soient normales ».

Travailler pour davantage de justice sociale et fiscale, « en redirigeant les aides vers les petites entreprises et non plus les grosses sociétés, qui n’en ont pas besoin », rendre les services publics physiques plus accessibles, « pour qu’ils soient à une distance raisonnable des habitants », lutter contre les déserts médicaux, « en développant le modèle des maisons de santé pour donner aux professionnels de santé un cadre de travail qui donne envie », renforcer l’offre de transports pour plus de mobilité, « en particulier le train où aujourd’hui beaucoup de petites gares ne sont pas desservies »… sont les grands axes de la campagne de Julie Xicola.

Pour la candidate du Nouveau Front Populaire, ces axes visent à « rendre davantage attractif le territoire de la circonscription, qui n’a pas de perspectives d’emploi énormes. Il faut notamment aider les jeunes, qui sont très précarisés. Il faut aussi lutter contre la précarité à la campagne, où beaucoup de gens vivent sous le seuil de pauvreté. Il faut qu’aujourd’hui chacun puisse vivre décemment. »

J.J.

3 commentaires

  • Avatar du commentaire numéro 1129

    Sans façons

    Elle ne dit pas un mot sur l’horreur de Courbevoie.
    Ni toutes les agressions de petites filles juives dans les écoles ou au dehors parce que juives, informations bien cachées au citoyen.
    Bureaucratie.
    Avoir perdu le contact, se dissimuler du contact avec la réalité et vivre de chimères, de fées ou de licornes.
    Le prolétariat…. Cet inconnu.
    « Les lendemains qui chantent »? Merci, les miséreux, ceux qui ne savent pas de quoi demain sera fait, ne se font plus leurrer.
    Le nfp ?
    Une supercherie.

  • Avatar du commentaire numéro 1137

    Constat

    elle est us agréable que Mélangeons!!!!!

  • Avatar du commentaire numéro 1141

    Constat

    elle est plus agréable que Melenchon !!!!!!!

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