Depuis 2003, le prix de la thèse du Comité National Français de la Géographie – CNFG – récompense chaque année le travail de 3 doctorant(e)s en Géographie, selon des critères d’excellence, d’originalité et de pertinence vis à vis des grandes questions du monde actuel.
C’est lors du Festival International de Géographie de Saint-Dié-des-Vosges que ce prix est officiellement remis. Comme l’an passé, 2 lauréates ex-aequo ont reçu le prix de la thèse CNFG ce dimanche matin, au Grand Salon de l’Hôtel de Ville.
Il s’agit, respectivement, de Natacha Gourland, pour sa thèse intitulée « Ballerines de banlieue : Géographie critique de la danse classique, du studio à la scène mondiale », soutenue à l’Université Paris-Est Créteil, et de Carole Marine, pour sa thèse « Sauvage en ville. Le sanglier bordelais », soutenue à l’Université Bordeaux-Montaigne. La première – et unique – accessit est Nassima Hassani, pour sa thèse « Caractérisation des îlots de chaleur de saison chaude dans les territoires de l’Eurométropole de Metz (France) et du Grand Casablanca (Maroc) : observation, perception, vulnérabilité », soutenue à l’Université de Lorraine.
Outre la dotation du prix, qui s’élève à 1000€, les 2 lauréates du prix CNFG, bénéficient également d’un droit de publication dans une collection aux Presses Universitaires de Vincennes. Plus précisément dans la collection « Géotraverses », qui est la collection du CNFG.
J.J.
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