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samedi 26 juillet

La FNDIRP s’oppose à la suppression du 8 mai comme jour férié

5 commentaires

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La Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes – FNDIRP – s’oppose avec vigueur à la proposition du Premier ministre visant à supprimer le jour férié du 8 mai 1945.

Pour l’association, cette date reste un symbole fondamental de paix et de liberté, marquant la capitulation de l’Allemagne nazie après six années d’un conflit mondial meurtrier, qui a causé la mort de plus de 60 millions de personnes. Le 8 mai rappelle non seulement la fin de la Seconde Guerre mondiale, mais aussi le rôle crucial du Conseil National de la Résistance, la libération de la France, et l’hommage aux victimes du nazisme comme aux civils tués dans les bombardements.

La FNDIRP insiste : le 8 mai est un repère incontournable pour le travail de mémoire transmis aux jeunes générations, dans un monde où les conflits ressurgissent et où la paix en Europe semble de nouveau menacée.

L’association dénonce une proposition incompréhensible, contraire aux valeurs de justice, de démocratie et de respect des droits de l’homme. Elle appelle à défendre cette date comme une journée nationale fériée, car « si l’Oubli s’installe, la République et la Démocratie sont en danger ».

8 mai 1945

Fédération Nationale des Déportés et Internés

FNDIRP

La FNDIRP s'oppose à la suppression du 8 mai comme jour férié

Résistants et Patriotes

Suppression du 8 mai 1945 comme jour férié

5 commentaires

  • Avatar du commentaire numéro 5534

    roger froissard

    Le devoir de mémoire est une responsabilité collective essentielle pour maintenir vivante la mémoire des événements tragiques du passé. Il ne se limite pas à un simple acte de commémoration, mais englobe un engagement à tirer des leçons de l’histoire, à honorer les victimes, et à promouvoir les valeurs universelles de justice, de paix et de dignité humaine. Les cérémonies patriotiques, les initiatives éducatives et les témoignages personnels sont des moyens puissants de transmission de cette mémoire.

    En préservant ces souvenirs, la société s’assure de ne pas sombrer dans l’oubli des horreurs passées, tout en renforçant la vigilance contre le retour des idéologies destructrices. Le devoir de mémoire est un pilier de l’éducation citoyenne, permettant aux nouvelles générations de comprendre l’importance de la tolérance, de la démocratie et du respect des droits humains. En cultivant cette mémoire, nous construisons un avenir plus éclairé, où les erreurs du passé ne se répètent pas.

    En définitive, le devoir de mémoire est un acte de résistance contre l’oubli, une façon d’honorer le passé tout en protégeant l’avenir.

  • Avatar du commentaire numéro 5535

    roger froissard

    Le devoir de mémoire est une notion qui désigne l’obligation morale de se souvenir des événements tragiques de l’histoire, afin de rendre hommage aux victimes et de prévenir la répétition des erreurs du passé. Ce concept est souvent associé aux grandes tragédies de l’histoire, telles que les guerres mondiales, la Shoah, l’esclavage, la colonisation ou encore les génocides contemporains.

    L’importance des commémorations
    Les commémorations jouent un rôle clé dans l’entretien de la mémoire collective. Elles sont l’occasion de rappeler les souffrances endurées, de rendre hommage aux victimes et de réaffirmer les valeurs universelles telles que la paix, la liberté et les droits de l’homme. Chaque nation possède ses propres jours de commémoration, souvent inscrits dans le calendrier national, comme le 11 novembre pour l’Armistice de la Première Guerre mondiale en France, ou le 27 janvier pour la Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l’Holocauste.

    Un acte pédagogique et citoyen
    Le devoir de mémoire ne concerne pas uniquement les cérémonies officielles. Il s’étend à l’enseignement, aux travaux de recherche historique, aux témoignages des survivants et à la transmission intergénérationnelle. Les jeunes générations, en particulier, sont au cœur de ce processus pour s’assurer que ces événements ne tombent pas dans l’oubli. De nombreuses initiatives culturelles, comme des expositions, des films, ou encore des rencontres avec des témoins, visent à garder vivante la conscience historique.

    Préserver la mémoire pour l’avenir
    Ne pas oublier, c’est aussi tirer des leçons du passé pour bâtir un avenir plus juste. Le devoir de mémoire est essentiel pour éviter la banalisation de la violence et pour combattre le négationnisme et le révisionnisme historique. En cela, il ne s’agit pas seulement de se souvenir, mais aussi d’agir, de promouvoir la justice et de défendre les valeurs qui protègent contre le retour des horreurs du passé.

    Le devoir de mémoire est donc un acte à la fois de reconnaissance envers les victimes et de vigilance pour l’avenir. Qu’il s’agisse de guerres, de génocides ou d’autres crimes contre l’humanité, la mémoire doit être entretenue pour que ces tragédies ne soient jamais répétées.

  • Avatar du commentaire numéro 5536

    Anonyme

    Je suis d accord le respect de nos anciens

  • Avatar du commentaire numéro 5540

    Citoyen

    et ils ont bien raison!!!!

  • Avatar du commentaire numéro 5541

    Thimothe

    qu’en pense dede88 ?????

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