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dimanche 07 septembre

Vosges – Une convention départementale pour lutter contre l’évitement scolaire

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(Photographie Préfecture des Vosges)

Jeudi dernier à Épinal, une convention départementale a été signée par Valérie Michel-Moreaux, préfète des Vosges, le Procureur de la République Frédéric Nahon, l’Inspecteur d’académie Olivier Delmas et Sophie Rivot, responsable du service Prestations et relations de service à la CAF des Vosges.

Renforcer le repérage et le suivi

Cette convention vise à renforcer le suivi des enfants soumis à l’obligation scolaire et à repérer les situations d’évitement, c’est-à-dire les cas d’enfants non inscrits et sans autorisation d’instruction en famille.

Elle prévoit notamment le signalement rapide au procureur des situations préoccupantes, la mise en commun des informations entre les services de l’État, un suivi coordonné des cas repérés, ainsi que l’adaptation des prestations familiales, si nécessaire.

Une instance départementale se réunira deux fois par an pour faire le point sur les situations suivies.

Convention départementale pour lutter contre l'évitement scolaire

Epinal

Evitement scolaire

1 commentaire

  • Avatar du commentaire numéro 5442

    Tab

    Dans certain cas ils feraient mieux de s’abstenir… Ma fille est autiste et n’arrive plus à se rendre au collège, (de manière générale en public) on s’est battu avec l’établissement pour avoir quelques heures de sapad par semaine en attendant le diagnostic. Malgré une communication transparente, information préoccupente et service sociaux sur nos côtes. Parmis les services sociaux, pas une personne formé à l’autisme, donc plein de jugements et d’apprioris, et des objectifs qui lui sont donné à côté de la plaque. Hormis perdre du temps temps, se libèrer du travail pour des rdv qui ne font rien avancé, dans notre cas cela ne sert à rien. C’est presque pire, il lui faut 4 à 5h d’isolement et de calme après chaque rdv pour s’en remettre. Donc que le département prenne bien conscience de certaines problématiques avant d’envoyer la cavalerie. On se bat au quotidien pour qu’elle puisse avoir un avenir et on nous assomme et stigmatise avec de l’administratif rouleaux compresseur qui n’écoute rien

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