Jennifer Fangille (à droite) a animé l’atelier autour de l’exposition Tamponville et de la Saint-Valentin ce mardi matin.
Ce mardi 14 février, jour de la Saint-Valentin, est synonyme de fleurs, restaurants, cadeaux… et, au musée Pierre-Noël, de tampons.
Dans le cadre de l’exposition Tamponville, de l’illustrateur strasbourgeois Aurélien Débat (lire notre article), le musée déodatien invitait les enfants et leurs parents à utiliser des tampons de différentes formes et couleurs, également d’en fabriquer, mais aussi de manier les ciseaux et les feutres. Ceci afin de confectionner une ville miniature remplie de cœurs pour célébrer la fête des amoureux, le temps d’un atelier animé par Jennifer Fangille, en sa qualité de chargée de médiation. Une manière originale, ludique et inventive de fêter la Saint-Valentin, loin des clichés habituels.
Une fois l’atelier terminé, Jennifer Fangille a mené la visite de Tamponville, une exposition tout public visible jusqu’à ce dimanche 19 février inclus. En début de matinée, c’est le président de la Communauté d’Agglomération Claude George qui a découvert Tamponville. L’occasion de rappeler que ce projet s’inscrit dans le cadre du Contrat Territorial d’Education Artistique et Culturelle – CTEAC – de l’intercommunalité, dont l’objectif est de favoriser l’accès à l’Art et la Culture pour l’ensemble des enfants de la Déodatie. Avec environ 1000 jeunes visiteurs en une dizaine de jours, notamment des élèves de 7 écoles du territoire, cet objectif est atteint pour Tamponville, d’autant plus que de nombreux autres enfants vont découvrir l’exposition d’ici la fin de semaine.
J.J.
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