Pierre Tsuji était arrivé en Déodatie en 2017, succédant à Mathieu Rocher au poste de directeur du Centre Hospitalier de Saint-Dié-des-Vosges. Depuis le 1er janvier 2022, il est le directeur des Hôpitaux du Massif des Vosges – HMV – qui regroupe le centre hospitalier déodatien, les EHPAD Les Charmes et Foucharupt, le Centre Hospitalier Intercommunal des 5 Vallées de Moyenmoutier, l’hôpital de Fraize et l’hôpital de Gérardmer. Pierre Tsuji quitte ses fonctions pour rejoindre la ville de Caen, où il occupera à partir de ce lundi 15 mai le poste de directeur de l’attractivité des métiers et de la transformation numérique du système de santé à l’Agence Régionale de Santé – ARS – Normandie.
Hier jeudi, une cérémonie de départ était organisée au restaurant du personnel du Centre Hospitalier de Saint-Dié-des-Vosges. L’occasion pour Pierre Tsuji de « remercier l’équipe de direction. Une équipe de direction de haute valeur, à la hauteur des professionnels des HMV, des personnes exigeantes mais dévouées et compétentes qui portent une grande humanité. Sans toute cette communauté de professionnels, aucun des projets réalisés durant mes années ici n’auraient pu voir le jour. Notre établissement peut s’enorgueillir d’une véritable richesse en terme humain et relationnel. La première chose que je souhaite exprimer ce soir, c’est une très haute gratitude. La deuxième chose chère à mon cœur, c’est ce territoire du massif des Vosges et de la Déodatie. »
Les années de direction de Pierre Tsuji ont été notamment marquées par l’installation en 2018 d’un IRM de nouvelle génération au Centre Hospitalier de Saint-Dié-des-Vosges, de la création d’une pharmacie communautaire, du déploiement du dossier patient informatisé, de la création d’un hôpital de jour en addictologie, du baptême d’un bâtiment de l’hôpital du nom de feu Docteur Jamil Machour, de la signature en 2019 du contrat du performance avec l’ARS Grand Est, de l’amorçage du virage vers la transition écologique, avec récemment l’installation de près de 3000 panneaux solaires… et bien entendu par la crise sanitaire du Covid-19, période très compliquée qui a mis à l’épreuve l’ensemble des établissements des HMV.
J.J.
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