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mardi 12 août

Volley-ball : un nouveau monde s’ouvre aux Louves déodatiennes

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Le mercato bouclé depuis maintenant une semaine, l’heure est à la reprise pour les Louves. La nouvelle équipe qui défendra les couleurs déodatiennes lors de la saison 2025-2026 s’est retrouvée ce lundi sur les parquets du Palais Omnisports, pour son tout premier entraînement.

Un effectif quasiment au complet

Seules manquaient à l’appel les internationales suédoises Linda Andersson et Emmy Andersson, qui participent au championnat du monde féminin de volley-ball en Thaïlande, ainsi que Tehea Labaste, qui se remet du jet-lag après un séjour dans son Tahiti natal.

Préparation physique renforcée

Mené par le coach Manu Dumortier, qui entraîne les Louves depuis le lancement du projet par feu Pierre Mercier, l’entraîneur Kévin Caudal, de retour à Saint-Dié-des-Vosges après une pige de 2 ans à Quimper, et le préparateur physique Oussama Zmirli, ce premier entraînement était le premier d’une longue série.

À raison d’un entraînement par jour, les 11 Louves devront être encore plus affûtées, et encore plus au point tactiquement et techniquement, au moment du coup d’envoi du premier match de championnat, qui sera donné le samedi 11 octobre à domicile avec la réception de Levallois-Perret. Au programme :  travail physique le matin et volley-ball à proprement parler l’après-midi.

Un nouveau monde s’ouvre aux Louves

Car la formation déodatienne évolue cette saison, et pour la première fois de son histoire, en Ligue Professionnelle Saforelle Power 6 après des années en Ligue Élite. « C’est vraiment un autre monde » estime Adrien Christophe, co-président du Saint-Dié-des-Vosges Volley-Ball avec Apolline Mercier, qui est venu assister à l’entraînement hier.

« En Élite, on était l’équipe à abattre. En Saforelle Power 6, notre statut change pour celui de petit poucet. Il y a un fossé entre les deux Ligues. La Ligue Pro, c’est une très très grosse machine. Sportivement, toutes les équipes seront dangereuses. La différence majeure étant la dimension physique. C’est bien plus intensif en Saforelle Power 6. On va donc beaucoup travailler cet aspect lors de la préparation, qui sera rythmée par des matchs amicaux et plusieurs tournois. En janvier, on devrait être au point physiquement. »

Garder la « patte » déodatienne

Mais si l’intensité physique augmente cette saison, les Louves gardent leur « patte » déodatienne, acquise au fil des saisons. Car bien que l’effectif sur le terrain soit renouvelé d’environ moitié, avec 6 arrivées pour autant de départs, l’encadrement reste stable. « On va continuer à travailler avec nos habitudes » confirme Adrien Christophe.

Pas de changement majeur en ce qui concerne l’antre des Louves, puisque la grande salle du Palais Omnisports Joseph-Claudel a été mise aux normes des exigences de la Saforelle Power 6 la saison dernière. La capacité d’accueil des spectateurs ne change pas non plus, avec 1450 places au total. « Le gros point supplémentaire sera la mise en place du challenge vidéo, équivalent à la VAR au football. Par contre, l’année prochaine, il sera obligatoire d’avoir un terrain avec sol en Taraflex à traçage unique » précise à ce propos Adrien Christophe.

Objectif maintien

Et le co-président de conclure par l’objectif de la saison. « On va jouer le maintien tout en structurant le club pour l’adapter à la Saforelle Power 6. On a hâte que ça redémarre… et on est impatients que le public puisse voir jouer la nouvelle équipe ! » Il faut désormais attendre encore 2 petites semaines pour connaître le calendrier détaillé du championnat 2025-2026 des Louves, qui sera publié le lundi 25 août.

En attendant, pour suivre l’actualité des Louves et accéder à la billetterie : https://saint-die-volley.eu/

Adrien Christophe

Les Louves

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Saforelle Power 6

Saint-Dié-des-Vosges Volley-Ball

Volley-ball féminin

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