Nous sommes bel et bien dans une société qui marche sur la tête et Gérardmer ne déroge pas à la règle. Stationnement longitudinal « dixit » les panneaux installés sur la droite du lac afin de canaliser l’ardeur des automobilistes. « Le coup passa si près que son chapeau tomba » … Et pas que, le couvre chef aurait pu ajouter Victor Hugo dans « Après la bataille ». Explication !
Pour rentrer à Gérardmer dès 7h du matin en ce jour de féerie lumineuse par le bout du lac, les automobilistes n’avaient qu’une solution, celle d’être déviée par Ramberchamp. Un sens de circulation qui n’a pas de sens avant 15 ou 16h voire 17h. Pourquoi bloquer l’artère principale qui mène à Gérardmer, soit la droite du lac si tôt dans la journée d’autant que les parkings improvisés sur le bord de la route étaient désespérément vides jusqu’à au moins 13h. Résultat : un embouteillage monstrueux du jamais vu de 9h30 à 2h du matin sur au moins 15km selon Google Trafic : sans parler de l’arrivée ou la sortie de la ville par le col des Bas-Rupts.
A la décharge des metteurs en scène, Gerardmer devient folle en ces jours particuliers, sans doute trop folle et, à journée spéciale, il faut un traitement de choc, un médicament adapté en pensant déjà à l’an prochain. Compte tenu de l’évolution de la cité touristique le moment est peut-être venu d’organiser des parkings extérieurs (toute l’année) avec un système de navettes dans le bon sens cette fois du développement durable…. Et ce, avant d’y être contraint et forcé !
Note : nous avons reçu hier une foultitude de messages et appels téléphoniques afin de connaitre la situation exacte du trafic et le pourquoi du comment.
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