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lundi 05 mai

Domrémy-la-Pucelle : Marion Maréchal renouvelle son hommage à Jeanne d’Arc le 1er mai

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Ce jeudi 1er mai, Marion Maréchal s’est de nouveau rendue à Domrémy-la-Pucelle, village natal de Jeanne d’Arc, pour y tenir un rassemblement politique et symbolique. Déjà présente l’année précédente à la même date, la présidente du mouvement Identité Libertés entend inscrire ce rendez-vous comme une tradition annuelle, en marge de la célébration nationale dédiée à la Pucelle d’Orléans.

S’inspirant des commémorations initiées jadis par son grand-père Jean-Marie Le Pen, Marion Maréchal souhaite faire du 1er mai un moment fort de son engagement politique, autour de la figure de Jeanne d’Arc.

Cette année encore, plusieurs centaines de personnes ont répondu à son appel, rassemblées dans les Vosges pour un hommage suivi d’un banquet au château d’Autigny-la-Tour, où plus de 400 convives ont été accueillis.

La date choisie, distincte de la fête nationale en l’honneur de Jeanne d’Arc (fixée au deuxième dimanche de mai depuis la loi du 10 juillet 1920), permet à Marion Maréchal d’ancrer son propre calendrier symbolique, en dehors des cadres institutionnels.

Elle a réaffirmé son intention de revenir chaque 1er mai à Domrémy pour honorer celle qu’elle considère comme une figure fondatrice de l’identité française.

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  • Avatar du commentaire numéro 5939

    Cauchon (le bien nommé)

    La Lorraine n’était pas encore française.
    Les troupes lorraines étaient, tels mercenaires, engagées en contre partie d’une relative tranquillité.
    Aller risquer sa vie pour une cause étrangère à sa patrie, partir, libérer un pays de l’envahisseur perfide, remettre le chef à la tête de son état…. En voilà du courage.
    Finir abandonnée par celui qu’elle a sauvé, jugée et condamnée par l’université de France et ses influents (déjà) traîtres puis livrée à l’ennemi pour le bûcher.
    Pas de doutes, une épopée bien française.

    Vous remarquerez qu’elle ne s’est pas contentée de babillages stériles, accoudée au comptoir de la bergerie, une chope de cervoise à la main, à distribuer des anathèmes inaudibles.

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