(Photographies Marc Fourniquet)
Depuis 2005, la date du 8 juin marque la Journée nationale d’hommage aux morts pour la France en Indochine. Cet hommage trouve un écho chaque année à Saint-Dié-des-Vosges, où une cérémonie commémorative était organisée ce samedi en fin de matinée au monument aux morts de la ville.
Lecture du message de Patricia Miralles, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Armées, dépôt de gerbes de fleurs, sonnerie aux morts, minute de silence, La Marseillaise et le traditionnel salut aux porte-drapeaux ont émaillé la cérémonie commémorative déodatienne.
L’Union française a déploré 75 000 morts, 64 000 blessés et 40 000 prisonniers – dont 30 000 ne sont jamais revenus – durant la Guerre d’Indochine, qui s’est étendue du 19 décembre 1946 au 21 juillet 1954.
J.J.
(Photographies Marc Fourniquet)
Depuis 2005, la date du 8 juin marque la Journée nationale d’hommage aux morts pour la France en Indochine. Cet hommage trouve un écho chaque année à Saint-Dié-des-Vosges, où une cérémonie commémorative était organisée ce samedi en fin de matinée au monument aux morts de la ville.
Lecture du message de Patricia Miralles, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Armées, dépôt de gerbes de fleurs, sonnerie aux morts, minute de silence, La Marseillaise et le traditionnel salut aux porte-drapeaux ont émaillé la cérémonie commémorative déodatienne.
L’Union française a déploré 75 000 morts, 64 000 blessés et 40 000 prisonniers – dont 30 000 ne sont jamais revenus – durant la Guerre d’Indochine, qui s’est étendue du 19 décembre 1946 au 21 juillet 1954.
J.J.
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