Pub
Pub
S'abonner à la newsletter
Pub
Pub

dimanche 10 novembre

22e édition pour la grande vente de livres d’Amnesty Saint-Dié-des-Vosges

Le week-end des samedi 24 et dimanche 25 février

1 commentaire

1

Écouter cet article

(Photographie Groupe 179 d’Amnesty International de Saint-Dié-des-Vosges)

L’édition 2024, la 22e en date, de la grande vente de livres du groupe 179 d’Amnesty International de Saint-Dié-des-Vosges approche désormais à grands pas, puisqu’elle aura lieu le week-end des 24 et 25 février prochains.

De 9h à 18h samedi puis de 9h à 17h le lendemain dimanche, ce sont des milliers de livres divers et variés qui seront à retrouver dans les allées de l’Espace François-Mitterrand. Organisée en partenariat avec Asil’Accueil 88, et avec le soutien de la Ville de Saint-Dié-des-Vosges, la vente permettra de récolter de l’argent pour financer « des actions de promotion et de défense des droits humains en toute indépendance. » Sur place, des pétitions-papier seront disponibles « pour défendre des cas emblématiques de violations de droits humains. »

Pour acheminer les quelques 700 caisses de livres jusqu’à l’Espace François-Mitterrand, et installer les 120 tables sur lesquels seront présentés les ouvrages, les bénévoles d’Amnesty invitent celles et ceux qui le souhaitent à venir leur donner un coup de main, le mardi 20 février à partir de 14h à l’Espace François-Mitterrand, avec un temps fort à partir de 17h au même endroit ; le dimanche 25 février à partir de 17h, pour le rangement dans le caisses et le transport du stock restant. La mise en place des livres sera fera toute la journée du mercredi au vendredi qui précèdent la vente. Renseignements complémentaires par téléphone, auprès de André au 07-49-08-10-18.

J.J.

Amnesty International

Espace François-Mitterrand

Grande vente de livres d'Amnesty International

Groupe 179 d'Amnesty International de Saint-Dié-des-Vosges

1 commentaire

  • Avatar du commentaire numéro 58

    choukov

    Il resterait quelques exemplaires du « Camp des Saints » qui n’auraient pas fini au bucher comme autodafé ?

    Sinon, « cas emblématiques de violations de droits humains. », ça concerne aussi les droits bafoués de français en France, toujours plus nombreux, méprisés par les administrations, les élus, raillés par les associations bien-pensantes autoproclamées, sans défenses ni recours ?
    Oui ?
    Ou non ?

Laisser un commentaire